09/11/06 (B368) COMESA ou pas COMESA, c’est la misère à Djibouti voire plus une situation de survie précaire pour la grande majorité de ceux qui vivent dans la Capitale de notre pays. (Lecteur)

C’est
devenu un mythe : lorsque la crise économique frappe plus fort, lorsque
le chômage conjoncturel des femmes, des hommes et des jeunes en capacité
de travailler qui ont quitté leurs milieux rurales(campagne) vers le
milieu urbain (ville)pour trouver un "job".

A Djibouti, nul n’échappe à la misère conséquence
du chômage conjoncturel et structurel, conséquence lui-même
de la Mal gouvernance et de la Mal gérance du Budget national.

Il est évident que l’orchestration médiatique autour de ce COMESA,
est bien le signe de l’échec politico-économique du régime
accentué par la corruption. Ce qui génère une méfiance
particulière des pays créanciers à l’égard des
pays débiteurs comme Djibouti.

Nous nous lasserons pas de prévenir la Communauté Internationale,
que ce COMESA est orchestré par un être éthiquement déboussolé
et qui a comme seul mot d’ordre, l’Etat c’est moi, un point à la ligne.

Le COMESA est notre "traité de Bolkestein", nous le rejetons
en bloc et radicalement de façon nette.