10/01/07 (B377) A lire sur LOI (Article gratuti) / DJIBOUTI Rien ne va plus, les jeux sont faits.

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En plus du casino du Sheraton qui est toujours géré
par l’homme d’affaires djiboutien Abdourahman Boreh, deux autres hôtels
vont avoir des licences de jeux de hasard.

Un décret
présidentiel, en date du 14 décembre 2006, vient d’accorder
à la Société djiboutienne d’exploitation et de gestion
hôtelière l’autorisation d’ouvrir au public des locaux spéciaux
au quartier dit « Plateau du serpent » où seront pratiqués
certains jeux de hasard. Cette autorisation, octroyée pour cinq ans,
vaut pour les machines et appareils à sous et à jetons, entre
18h30 et deux heures du matin. L’accès aux salles de jeux sera subordonné
à la délivrance d’une carte d’admission délivrée
sur présentation de pièces d’identité. Mais les citoyens
djiboutiens ne seront pas autorisés à y accéder, cet
établissement de jeux étant exclusivement réservé
aux touristes et ressortissants étrangers. Cette licence concernerait
l’hôtel Kempinski récemment ouvert à Djibouti, dont le
directeur général est Bugra Berberoglu et dont le casino devrait
théoriquement être prêt pour la fin de l’année.

L’Imperial
Red Sea Hotel, récemment inauguré à Djibouti après
la rénovation du vieil immeuble Les Mouettes, devrait également
obtenir une licence de jeux de hasard. Un casino de 800 m2 est en cours de
réalisation dans cet hôtel dont le patron, Mohammed Silas Majyambere,
est un originaire du Rwanda converti à l’islam en 1998.