22/03/07 (B387-B) NON ! NON ! et NON ! Jean-Paul Noël ABDI n’a pas diffusé de fausses informations dans l’affaire du Viol de la jeune fille sourde-muette et nous sommes en mesure de le prouver. Le jugement prononcé à son encontre a été pris sur des bases mensongères. Le juge et le procureur sont-ils eux coupables de diffusion de fausses informations ? Seraient-ce eux qui devraient remplacer Jean-Paul Noël ABDI à Gabode ? (ARDHD)

Nous
avons reçu deux documents importants que nous ne publierons pas pour
le moment, par respect pour la victime, sa famille et le médecin. Mais
nous nous réserverons de le faire à tout moment.

Il s’agit :

  • de
    la copie de la plainte du père auprès du
    Procureur de la République de Djibouti, datée du 3 mars,
    pour viol et violence contre sa fille handicapée.
  • de
    la copie d’un certificat médical émis le
    3 mars, à l’hopital Peltier par un chirurgien qui confirme l’agression
    du 24 février et ses conséquences physiques sur la victime.
    Le certificat précise que l’ITT (Interruption temporaire de travail)
    est de 21 jours !

Ce qui, en Droit
français, rendrait les coupables passibles de la Cour d’Assises avec
des condamations pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement à vie.
La prescription en cette matière est décenale en droit français.

Il est temps d’inverser
le cours de la Justice à Djibouti et que ce soient effectivement les
coupables qui soient condamnés et non les victimes.

La jeune fille
violée est traumatisée. Déjà fortement handicapée,
elle est plongée dans une situation psychologique plus que préoccupante.

Jean-Paul Noël
ABDI est à Gabode pour avoir dit la vérité.

Les tortionnaires,
le Procureur et le Juge qui ont prononcé ce jugement scélérat
sont en liberté.

Beau tableau pour
le régime de Guelleh !!!