17/09/07 (B413) Radio-Trottoir : Hassan Saïd, dans une situation personnelle très inconfortable (Info lecteur)

Bonjour à tous,

Après avoir lu les différentes informations que vous publiez, je peux vous confirmer qu’Hassan Saïd fait de nombreux séjours à l’hôpital français Bouffard. Il essaie d’être le plus discret possible, mais cela se remarque, d’autant plus qu’il préfère ensuite le confort de sa maison à son bureau, où ses apparitions deviennent plus rares.

De quoi souffre-t-il ?

On dit qu’il aurait consulté des spécialistes, d’abord à Tel Aviv, puis en Afrique du Sud. Ces derniers ne lui auraient pas donné de nouvelles rassurantes quand à l’évolution du mal qui le rongerait et au sujet duquel je n’ai pas d’informations fiables.

On savait qu’il souffrait du foi : probablement à cause des « jus de raisin » dont il auraient trop abusés autrefois, son copain Guelleh et lui. Maintenant, ils se sont mis à l’eau fraiche, pour le salut de leur âme et leur santé …

On dit aussi qu’il souffrirait de défaillances rénales et on imagine qu’il pourrait avoir besoin d’être dialysé très régulièrement. Il serait bien malheureux, car pour lui, Bouffard ne donne pas toutes les garanties : d’abord, c’est un territoire français et on pourrait toujours, bien que l’Armée ne coopère pas facilement avec la Justice, venir le contraindre à se présenter à son futur procès …. et puis les équipements médicaux n’y sont pas du dernier cri …

Plus question de penser à retourner en Europe (au Val de Grâce par exemple, si confortable et doté des meilleurs spécialistes) ! C’est fini pour lui ! Il serait immédiatement arrêté pour refus de s’être présenté aux convocations de la Justice : un mandat d’arrêt international à été délivré contre lui et il est toujours valable …


Ses amis pleurent l’un des chefs de clan,
disparus mystérieusement et de façon soudaine.
Enfin, il pourrait devenir le fusible idéal dans l’affaire Borrel … Guelleh, qui n’a aucun sens de l’amitié, pourrait penser à le faire disparaître et à mettre toutes les responsablités de la disparition de Bernard Borrel, sur son dos. Pour en arriver à cela, encore faudrait-il que Guelleh soit assuré de récupérer tous les dossiers confidentiels qu’Hassan Saïd devrait posséder, s’il est prudent …

Par exemple comme le même Hassan Saïd vient de le faire chez le Juge Saad, juste après son décès. Quels étaient les documents confidentiels qu’il a fait emporter

Mystère et boule de gomme.

Ce qui est rassurant pour nous autres, victimes de ces « parrains », c’est que les chefs mafieux commencent à se méfier les uns des autres. Ca sent la fin du système.

A quand le grand règlement de compte entre barons de la dictature ? Au fusil à canon scié dans les jardins du Palais de l’Escale ou à Haramous ?


Et Paulette qui sortirait du Palais
en hurlant  » Arrêtez, bandes de c… !

Vous allez tuer
ma poule aux oeufs d’or
« .

Ca au moins, pour une fois, ça aurait de la gueule, non pardon, du Guelleh !