14/02/08 (B434) La saga de Bruxelles (suite du feuilleton). Le Prince des Noisettes fait encore parler de lui …. Plusieurs informations ! Cela prouve que le ridicule ne tue pas en Europe … ! (Lecteurs)

Contribution N° 1

Mohamed Moussa Chehem, l’Ambassadeur de Djibouti à Bruxelles, boxeur à ses heures libres, continue à s’enfoncer un peu plus dans le sable mouvant.

Une fois de plus, l’ambassadeur de Djibouti auprès de la Belgique, des Etats du Norde de l’Europe, de l’UE et autres territoires découverts à marée basse, Mohamed Moussa Chehem, dit « Prince des noisettes » et membre éminent de l’Ordre des Brosses à reluire continue à faire parler de lui.

Bien sûr, comme vous l’aurez deviné, si on parle de lui, ce n’est pas pour vanter ni les mérites de sa génorosité, ni encore moins ses excés de gentillesse – tout le monde sait que le boxeur n’est pas un enfant de choeur !

Mais il est de mon devoir de porter à la connaissance du grand public son énième forfait. En effet, ce sexagénaire, pourtant expérimenté pour avoir eu à occuper de hautes (?) fonctions au sein de l’appareil d’Etat, n’est même plus en mesure de faire la part des choses.

Se croyant, on ne sait où, mais surement pas en démocratie, le diplomate djiboutien se serait permis la semaine dernière, d’inviter à déjeuner le magistrat belge en charge d’instruire le dossier concernant la plainte de son ex-chauffeur.

Il aurait proposé au juge, de partager avec lui, un repas, tout en précisant au passage, qu’il était un ami intime de Louis Michel, ancien chef de la diplomatie belge.

Tout naturellement, le magistrat belge, conscient des risques encourus en acceptant ce  » repas empoisonné « , a décliné cordialement l’invitation de l’ambassadeur africain, manifestement rompu à ce genre de pratiques et toujours étonné de se voir refuser une proposition de corruption.

Par ailleurs, le Prince des noisettes serait en train de concocter un plan audacieux pour tenter de maintenir sa famille en Belgique, une fois qu’il sera rappelé à d’autres fonctions, ou plutôt qu’il sera rattrapé par l’âge de la retraite (si ce n’est pas déjà le cas …).

Depuis quelques temps, les mauvaises langues affirmernt que l’homme pourrait souffrir de troubles psychiques et qu’il développerait une véritable paranoïa.

Même son entourage proche, commencerait à avoir des doutes sur « l’intégrité » de ses facultes mentales. Mais celà reste bien sûr à vérifier, d’autant plus que « l’intégrité » n’a jamais été sa qualité première. (Ndlr : mauvais jeu de mots ???)

On se souvient d’autres cas de patologie comparable qui ont frappés des hommes élus démocratiquement et dont le parcours s’est achevé dans l’horreur. Heureusement et Dieu merci, Mohamed n’a jamais été élu et il ne dispose pas de grands pouvoirs en dehors de sa surface extra-territoriale de Bruxelles.

Sinon, il y aurait fort à craindre compte-tenu des tendances sinon sanguinaires au moins belliqueuses qu’il affiche envers ses inférieurs : insultes, coups et blessures, humiliations, …

Pour finir, il faudrait essayer de comprendre ce qui se passe dans la tête de cet homme qui a tout faqit pour se mettre « à dos » la terre entière.

_______________________________________ Contribution N°2

Selon un autre lecteur, les plus hautes autorités belges auraient fait circuler un rappel à l’ordre dans les milieux diplomatiques pour que les personnels, même bénéficiant d’une immunité reconnue, ne se livrent pas à des actes illégaux et répréhensibles dans le royaume : code de la route, code du travail, législation sur les substances toxiques, …

Chacun aurait bien compris que cette mise en garde « générale » concernait avant tout et en particulier, le Prince des noisettes.

L’un de ses homologues lui en aurait fait la remarque lors d’une réunion ACP et le Prince aurait fort mal accepté les reproches et conseils avisés d’un collègue.

Depuis, il aurait boudé toutes les réunions ACP, déléguant collaborateurs, sous-fifres et plus généralement toute personne de l’Ambassade en situation de ne rien pouvoir lui refuser, pour assurer la présence de Djibouti à l’U.E..