16/05/08 (B447-B) Un lecteur nous écrit au sujet de la trahison commise par Guelleh contre la mémoire de Gouled, quand il a établi des relations amicales avec le Président Erythréen. C’est le pays qui paye actuellement le prix de cette trahison par un envahissement d’une partie du territoire.

A toute l’équipe de l’ARDHD

Chaque fois que j’en ai la possibilité, j’essaie de me connecter pour consulter votre site. Bien que je ne puisse pas vous dire que je partage toujours les idées qui sont diffusées, je tiens à vous dire mon profond respect pour le travail qui est accompli, car vous proposez souvent des informations que personne d’autre ne publie.

Je travaille pour la securité de la Présidence, mais vous comprendrez que je ne puisse pas vous en dire plus.

Je ne comprend pas ce qui se passe en ce moment. Depuis quelques années, IOG a noué et entretenu des liens tres amicaux avec le régime érythréen et en particulier avec le Président Afwarki.

Cela était déjà curieux, car Afwarki avait insulté à deux reprises et dans des pays différents, notre ancien Président que je considère comme le pére de notre nation : M.Hassan Gouled Aptidon.

Il l’avait insulté lors de sommets internationaux au Caire puis à Lomé en traitant M. Gouled de chien à la solde des Ethiopiens et des Français.

L’histoire est célèbre, car notre Président, pour toute réponse, lui avait lancé à la tête, le premier cendrier qu’il avait trouvé à côté de lui.

De son vivant et du temps de sa Présidence, Gouled avait toujours refusé qu’Afwarki mette les pieds à Djibouti.

A peine Président, IOG semble avoir oublié immédiatement, les injures faites à celui qui lui a offert le grand bureau de l’Escale. Il a noué des relations amicales avec l’ennemi de Gouled.

Et maintenant, nous avons l’impression avec des collègues, qu’il vient de prendre "un coup sur la tête" de la part de celui pour l’amité duquel, il avait trahi la mémoire de Gouled.

Il est heureux de constater que l’auteur d’un crime de trahison peut être puni, même ici bas : c’est très moral. Malheureusement ce qui l’est moins, c’est que nous, les Djiboutiens, nous paierons fatalement la note …