13/06/09 (B503) Radio-Trottoir : La situation sécuritaire à Balbala pose un énorme problème. (Correspondant).

Désormais, les véhicules de reconnaissance de l’Armée Française circulent « en permanence » (de nuit comme de jour), aux alentours de Balbala.

Quelle est leur mission ?

Est-ce pour assurer la surveillance du Port des hydrocarbures de Doraleh, chasse gardée de l’investisseur Loota, qui est le patron du tourisme d’Etat et surtout le grand ami de Sa Très Grasse Majesté ?

Comment sont rémunérées les missions exceptionnelles et/ou complémentaires qui sont effectuées par les braves soldats Français ?

A notre avis elles ne le sont pas, ni par le Gouvernement djiboutien ni par le propriétaire. Pourtant à ma première vue, ce sont eux qui en bénéficient. Mais un arbre peut cacher la forêt.

Et d’aucuns, au pays, se demandent aujourd’hui, si l’Armée française n’a pas pour mission « secrète » de participer activement aux balisages des nouvelles possessions portuaires et de celles des Etablissements d’Etat comme l’EDD ou la Régie des Eaux qui a été octroyée à l’ami Sarko-Chiraquien.

Comment vous ne voyez pas qui c’est ? Ca par exemple !

Voyons, c’est l’ami de toujours, le fameux Bollore, bien sur. Un trou de mémoire, cela peut arriver à tout le monde, ne vous excusez pas … !

Toute cette zone est placée sous Haute Sécurité. Elle est truffée de parasols aux couleurs locales, car elle appartient en partie à Loota, l’investisseur du tourisme, le renégat courageux grand spécialiste incontesté des Blanchiments d’Argent. Il bénéficie de l’appui des mafieux de la Cossa Nostras Européenne, sources de financements des prochaines élections Européennes. N’est-ce pas ? (Voir notre article en relation avec ce sujet)

Qui va donc racheter officiellement le Port de Doraleh en mettant sur la table, un minimum de 300 Millions de Dollars qui devrait permettre d’amortir les dettes de Borreh et d’assurer le niveau de vie et les investissements exceptionnels effectués par Leurs Lumières d’Haramous, de préférence en terres étrangères et sans retour sur investissement pour le peuple djiboutien, qui s’enfonce dans la misère.


Caricature Roger Picon

Après Bongo, la Nouvelle Françafrique aurait-elle choisi de jete l’ancre à Djibouti pour se recycler ?Mais ils devront faire très attention, car la zone est infestée de pirates. Et ceux qui règnent à L’Escale sont certainement pires et plus dangereux que ceux du Golfe d’Aden …

Votre Représentant.