27/09/09 (B518)  Radio-Trottoir / Djibouti capitale régionale de la poubelle (Correspondant)


Caricature par Roger Picon
Autant Asmara en Erythrée est d’une propreté exemplaire, autant Djibouti en dépit de tout le fric donné par la communauté internationale (en particulier les Etats-Unis et la France, mais pas qu’eux !) pour soutenir, sans réserves ni restriction d’aucune sorte, le Dictateur IOG. Citons aussi, parmi tant d’autres le subventionnement de la dicature par PNUD interposé…

Malgré tout ce fric, Djibouti est d’une saleté inimaginable!

Depuis un mois, l’épidémie du choléra fait des ravages à Djibouti ville et le Ministre de la Santé au lieu de déclencher un plan de sauvetage, son Ministère non seulement garde le silence, mais s’amuse à établir des statistiques.

Un vaste programme de Recensement pour connaître le nombre exact des victimes du choléra.

Ensuite lancer des Appels à l’OMS pour trouver des Fonds à encaisser.

Mais la mort n’attend pas et on se demande qui est habilité à recevoir des plaintes pour non assistance à personne en danger ou plus exactement à des populations en dangers ?

Voilà le plan des thérapeutes d’urgence et des Irresponsables à la tête de la République de Djibouti qui ne pensent qu’à s’enrichir sur le dos avec le seul leitmotiv d’un pseudo Terrorisme.

Mais une telle provocation doublée par un pseudo Terrorisme risquent d’engendrer et de devenir une catastrophe humanitaire suivi par la réalité du « Terrorisme anarchique » dans notre pays.

En une semaine le quartier 7 a eu au moins dix décès.

C’est le cas d’Ali Hassan Ragueh, d’Abdo Chireh et ses deux enfants son épouse est dans un état inquiétant, pour ne citer que ces cas.

Obock n’est pas épargnée avec deux décès.

Tadjourah n’est pas épargnée.

Les cris de désespoir fusent de partout.

Le Territoire Djiboutien est envahi par le choléra, pendant ce temps à la télé gouvernementale on nous montre les rentrées financières de l’USAID.

Comme à Madagascar, il est temps, que la Force populaire agisse.

Il est temps de se débarrasser de ces vermines et toutes sortes qui nous empoisonnent la vie et la santé.

Un paramédical
des services d’urgence.