04/01/10 (B532) Par Freedjibouti -> quand l’hôpital se moque de la charité ! Freedjibouti a recopié un article publié dans La Nation, mais il s’est trompé volontairement : découvrez toutes les erreurs (Soyez vigilant, car il n’y en a que très peu !)

_____________________________ Note de l’ARDHD

Cette semaine Freedjibouti nous propose une caricature qui concerne un article publié par le périodique confidentiel : « La Nation » sous la signature d’Abdourazak.

Ce journaliste – qui vit, selon ses propos, dans un pays libre
et dont le régime susciterait (toujours selon lui) l’admiration sans bornes de ses voisins et même de l’ensemble de la communauté internationale, unanime sur ce point – se permet de lancer des critiques et plus encore, une véritable attaque contre les dirigeants de l’Erythrée.

Même si sur le fond, il y a des points qui sont véridiques, ce journaliste oublie qu’il subit la Loi d’un dictateur de la même veine que celui qui préside aux destinées de l’Erythrée.

Pour nous en convaincre Freedjibouti a plagié l’article à sa façon … (A lire avec délectation …)

________________________ 1 – Article revu par Freedjibouti

Ismaël Omar Guelleh

Un despote aux abois  

Mégalomane et tyrannique, Guelleh l’est assurément. Depuis le début de son mandat à la tête de Djibouti, le Dictateur d’Haramous qui a instauré un régime avec parti unique(L’UMP est un parti unique aussi puisque seul Guelleh décide de tous même leurs assemblées générales) et sans élections (avec des élections qui valent pas mieux), tue, torture et terrifie son peuple.

Maître d’une économie centralisée, le dictateur Djiboutien mène une politique à tendance impérialiste. Et les djiboutiens forment un peuple sans liberté, sans sécurité et sans droit. Un peuple qui va mal. Très mal.

En 2009, au sein même de son parti, l’UMP, des voix se sont élevées pour demander au  » Dictateur de la Mer Rouge  » l’application de la Constitution approuvée en 1992 et une plus grande ouverture politique et sociale. Mais sa réponse a été radicale. Il malmène les contestataires (parce que nos journalistes le caressent dans le sens des poils) qui s’étaient fait l’écho de ces critiques, exemple a famille Aden Robleh .

Coutumier d’un tel libre arbitre qui foule au sol les libertés fondamentales de ceux qui osent s’opposer à ses prétentions hégémoniques vis à vis de ses voisins de la sous région, cet homme pervers est considéré comme un être dangereux pour la sécurité de la Corne.

Il a fait de son pays une caserne policière et une prison à ciel ouvert dont peu en échappe. Depuis 1999, au moins des centaines de milliers de réfugiés de l’ancienne colonie française ont fui dans le monde entier, en fuyant la dictature de Guelleh.

La situation à Djibouti est toujours critique selon Amnesty International qui dénonce les harcèlement et arrestations des opposants et des défenseurs de Droits de l’Homme du régime en place. Djibouti se trouve dans les mains d’un homme qui n’a ni foi ni loi.

Celui-ci se sert de la tension vivace avec l’Érythrée pour embrigader des centaines de milliers de Djiboutiens qui sont contraints d’effectuer un service militaire à durée indéterminée dans un pays qui compte 700.000 habitants.

Chaque année, des dizaines d’entre eux désertent l’armée et fuient leur pays.

Victimes d’une politique belliqueuse menée par un homme sans scrupule, ces hommes et ces femmes se retrouvent sous des tombes de réfugiés.

Jusqu’à quand ?

Car les manifestations et regroupement initiés par les partis de l’opposition mettent dans les pays occidentaux déjà le régime de Djibouti à genoux. Et le despote Guelleh aux abois.

____________________ 2 – Article original publié par La Nation

Source :

Issayas Afeworki

Un despote aux abois

Mégalomane et tyrannique, Issayas Afeworki l’est assurément. Depuis le début de son mandat à la tête de l’Erythrée, le Duce d’Asmara qui a instauré un régime avec parti unique et sans élections, tue, torture et terrifie son peuple. Maître d’une économie centralisée, le dictateur érythréen mène une politique à tendance impérialiste. Et les érythréens forment un peuple sans liberté, sans sécurité et sans droit. Un peuple qui va mal. Très mal.

En 2001, au sein même de son parti, le FJD, des voix se sont élevées pour demander au  » Diable de la Mer Rouge  » l’application de la Constitution approuvée en 1997 et une plus grande ouverture politique et sociale. Mais sa réponse a été radicale. Il a emprisonné les contestataires et les journalistes qui s’étaient fait l’écho de ces critiques. Coutumier d’un tel libre arbitre qui foule au sol les libertés fondamentales de ceux qui osent s’opposer à ses prétentions hégémoniques vis à vis de ses voisins de la sous région, cet homme pervers est considéré comme un être dangereux pour la sécurité de la Corne.

Il a fait de son pays une caserne militaire et une prison à ciel ouvert dont peu en échappe. Depuis 2005, au moins 6.000 réfugiés de l’ancienne colonie italienne ont débarqué sur les côtes siciliennes, en fuyant la dictature d’Isayas Afeworki. La situation à Asmara est toujours critique selon Amnesty International qui dénonce les harcèlement et arrestations des opposants et des journalistes du régime en place. Asmara se trouve dans les mains d’un homme qui n’a ni foi ni loi.

Celui-ci se sert de la tension vivace avec l’Éthiopie pour embrigader des centaines de milliers d’Erythréens qui sont contraints d’effectuer un service militaire à durée indéterminée dans un pays qui compte 4,7 millions d’habitants.

Chaque année, des milliers d’entre eux désertent l’armée et fuient leur pays.

Victimes d’une politique belliqueuse menée par un homme sans scrupule, ces hommes et ces femmes se retrouvent sous des tombes de réfugiés.

Jusqu’à quand ?

Car les sanctions des Nations Unies mettent déjà le régime d’Asmara à genoux. Et le despote Afeworki aux abois.

Abdourazak