22/01/10 (B534) Vérité : Les méthodes d’IOG (Lecteur)

IOG, c’est l’homme des actes monstrueux ; il a commis des crimes contre le pays et il a détruit l’harmonie d’une noble culture multi-ethnique qui appartenait aux Djiboutiens natifs du pays.

IOG n’a pas de parole : toutes ses promesses sont restées sans suite. Il se plait à tromper voir à ridiculiser ceux qui l’écoutent. Mentir à chacun pour gagner l’adhésion de tous ceux qui pourraient croire en lui. Janus, l’homme au double visage.

Celui que l’on présent comme l’homme fort du régime n’a aucun sens politique, économique ou diplomatique ni l’étoffe d’un chef d’Etat digne de ce nom ou d’un rassembleur charismatique.

C’est un homme de l’ombre qui n’a pas d’éthique ni de conscience : il peut tuer ou faire tuer, uniquement sur la base d’un simple information détournée.

IOG déteste les critiques , il refuse tous les débats, l’ouverture démocratique, l’épanouissement des autres et la réussite des citoyens. Il rejette les nouvelles idées, toute mesure pour l’amélioration du système et surtout le changement tant demandé par le peuple.

Ce fils de Hafat-Issa est personnellement et pleinement responsable d’avoir créé un système à deux vitesses au sein de la Société djiboutienne : les riches d’un côté et les pauvres de l’autre. Pas de milieu : une frontière infranchissable entre les deux.

  • pour développer la famine et la misère au sein de chaque famille, en contrôlant tout, y compris les revenus et afin de rendre docile, le peuple envers ses fausses idées du diable et ses mensonges emportés d’Ethiopie.
  • mais aussi pour anéantir la fine fleur de notre société : les jeunes de demain,
  • pour mettre la corde aux coups des faux leaders d’une opposition d’opérette.

IOG, fils d’Anjero n’a pas d’amis, car il les a tous écartés de la vie politique : certains sont morts, d’autres sont au bord du gouffre : c’est un bourreau qui n’aime pas ses anciens amis de Dire-Dawa, car ceux-là savent d’où il vient, notre ex-gardien de chameaux. Ceux-là étaient déjà des intellectuels, cultivés à l’époque ou IOG vendait les fameux gâteaux ( KAMIR) dans les ruelles d’Hafat-Issa.

IOG n’a pas pas fait du bon travail durant sa règne. Il n’a produit aucun effort pour mieux diriger le pays dans la transparence, l’équité et la justice.

Il n’a jamais pensé ni essayé d’améliorer la vie de nos concitoyens : les personnes âgées, les femmes et les enfants souffrent énormément car ils sont les premiers et les plus touchés.

IOG n’a plus aucun avenir politique au sein du pays. Finie la mauvaise gestion des administrations et des services, finis les détournements massifs de l’argent public, finis les trafics en tout genre, finie la violence, l’injustice et le tribalisme dominant.

Guelleh doit chercher un autre refuge pour y vivre sa fin de vie, car il n’a plus sa place à Djibouti

IOG a enrichi ses proches, son clan et certains hommes fragiles politiquement, espérant qu’ils lui resteront fidèles jusqu’à sa mort

  • en distribuant gratuitement des parcelles à Haramous dans la cité Soleil,
  • avec des prêt douteux auprès des Banques de la place,
  • le prêt spécial pour achater un hôtel à DUBAÏ qui a été consenti par la Banque nationale dirigée par HAÎD le mongole et le "beauf’"

Aujourd’hui, la situation va changer. Le peuple est prêt a se positionner face aux chars des forces de répression et il ira jusqu’au bout :

– pour retrouver sa dignité
– pour être capable de reconstruire son avenir qui lui a été volé
– pour la réconciliation des communautés qu’IOG a divisées
– pour regagner la vie, la liberté et le respect de la citoyenneté
– pour vivre ensemble et en harmonie

PEUPLE , LE CHANGEMENT EST A TA PORTE.
,SAISSIS-LE VITE POUR MIEUX VIVRE.
LE MONDE ENTIER ATTEND TES REACTIONS POUR MIEUX T’AIDER LE JOUR VENU.