26/07/10 (B562) Vérité : nos anciens leaders politique morts pour la patrie

Quel douleur dans un pays, où l’on oublie complètement les hommes qui ont servi durant leur vie entiére pour que le peuple de Djibouti accède à une liberté durable et à une vie meilleure.

Voilà pourtant la vérité. Plus de 30 ans après l’indépendance, le régime dictatorial refuse catégoriquement d’honorer les leaders politiques et religieux qui sont mort pour la patrie.

Pourquoi ? IOG veut–il effacer notre histoire ?

Pourquoi ? IOG travestit –t-il la réalité ?

Pourquoi ? IOG aime-t-il danser avec les jeunes warabeys. Pour camoufler et ridiculiser la communauté ?

IOG, le fils de l’Oued, veut étouffer, cacher, occulter la vérité pour que notre peuple vive sans racines ni histoire.

IOG et ses proches ont essayé plusieurs fois de rédiger de faux documents pour tenter de faire croire que cette terre brûlée, le pays du Pount appartenait à ses ancêtres, la famille de Guelleh Batal et que les autres communautés n’avaient aucune légitimité territoriale à Djibouti !!

IOG, le fils du rail, a affirmé à plusieurs reprises, surtout pendant ses campagnes électorales de pacotilles et les cérémonies pour récolter de l’argent auprès des dignitaires de la place, que ce petit pays est celui de sa famille et leurs clans respectifs. Il a ajouté que personne même les leaders des partis d’opposition ne pourraient jamais le détrôner.

Il dit souvent qu’il est le plus puissant ayant la force armée à ses bottes et des monceaux d’argent sale.

Tous les hommes politiques crédibles et sincèrement engagés ont été systèmatiquement éliminés par IOG et son clan.

IOG, le vampire arrogant travaille dans l’ombre pour faire commettre des crimes abominables envers les honnêtes gens.

Dans ses mémoires personnelles du crime, on trouve une liste impressionnnante de victimes :

  • Le Juge Bernard Borrel
  • De nombreux leaders de l’opposition
  • De simples opposants
  • Des fonctionnaires de qualité
  • Des jeunes intellectuels
  • Des anciens leaders politique
  • Des familles de leaders
  • Des élus locaux
  • Des officiers de l’Armée, de la Gendarmerie et de la Police,
  • Des cheiks et des sultans
  • De nombreux civils en particulier dans le nord ( afar)

IOG est homme dangereux et sans pitié.

Son domaine d’opération est très vaste. Il peut faire liquider facilement un opposant autant à Djibouti que dans les pays frontaliers : SOMALIE – ETHIOPIE – YEMEN.

Combien ont perdu la vie, victime des méthodes emportés du pays de KOTOU.

Après plusieurs analyses réalisées par la communauté djiboutienne, le résultat s’impose : IOG est un malade qui n’agit que pour son seul intérêt personnel. La situation du peuple et du pays ne le concerne pas. Il est étranger a part entière. Le jour venu, il va partir.

IOG n’est pas un politicien chevronné. C’est tout juste un homme de clan, de tribu et d’origine éthiopienne. Il s’est cloitré au sein de sa famille. Il ne sait même plus ce qui se passe autour de lui. Il n’entend plus le cri du peuple car il est aveuglé par le pouvoir, le système clanique et les flagorneurs dont il s’est entouré.

Lorsque viendra la fin de ce régime maudit, nous devrons graver dans la pierre les noms de tous nos leaders morts pour la patrie et de tous ceux qui ont été éliminés par le diable IOG et son, afin que nos enfants, nos petits-enfants et nos arrières petits enfants soient fiers de leurs aînés et de l’histoire de leur pays.