05/08/10 (B563) Petites nouvelles du front. Hassan Saïd menacé à son propre domicile par trois individus armés, qui ont agi à visage découvert. Signe des temps ???

Par un Yobockois.

Quand les barbouzes se crispent, les fidèles se crêpent le chignon…

Cela fait-il peur à Hassan Said dit Le Noiraud ?

Le patron en second de la SDS sous IOG, aurait été victime d’une incursion surprise dans
le salon privé de son domicile.

En fait il s’agit d’une
infiltration hardie, suivie d’une violation de sa propre demeure située à Gabode – non loin de la 13ème
D B de Légion Etrangère.

Les faits relatés ci-dessous se sont produits, tard dans la nuit du 4 août 2010.

Après avoir passé deux nuits harassantes, après 40 heures d’écoutes intensives, le grand
Colonel de la SDS n’avait même pas eu les quelques minutes de relaxe, dont il avait besoin.

Dans la nuit même du 4 août, après avoir surveillé l’incendie de Djebel, puis après
s’être rendu auprès de la famille de feu Elmi Farah Abaneh, brillant Officier de
la Gendarmerie puis de la Marine où il avait assumé pendant des années de
lourdes et hautes responsabilités.

Feu Elmi Farah Abaneh – que Dieu garde son âme en Paix – savait beaucoup de choses sur les massacres d’Arhiba…

Le grand Hassan Saïd, Colonel et patron en second sous IOG de la toute puissante SDS, était fatigué, même épuisé, en rentrant à son domicile.

En arrivant, il a contaté que son salon était éclairé. Il s’y est rendu pour éteindre la lumière car ce n’est pas un gaspilleur effréné contrairement à la plupart des Autorités djiboutiennes qui
résident à Haramous et qui n’ont aucun sens patriotique, ni de la
responsabilité, ni encore moins de l’intérêt collectif.

En voyant ce qu’il a constaté, il a failli s’évanouir.

En face de lui, bien installés dans les fauteuils, fusil mitrailleur sur les genoux, trois énergumènes aux corps et aux visages de marbre, se sont levés tranquillement. S’approchant de lui, l’un d’entre eux à tout simplement déclaré :

« Regarde nous bien et surtout n’oublie pas nos visages ».

Tellement il a été surpris et choqué, le grand Colonel ne s’était même pas aperçu du départ de ces intrus.

Un quart d’heure plus tard, remis de ses premières émotions, il a lancé l’alerte rouge, mais jusqu’à présent sans résultat concret. Les trois hommes sont toujours introuvables.

Est-ce un signal fort envoyé par IOG avec la complicité de sa Garde républicaine ?

Le Colonel Hassan Saïd sera-t-il assassiné, comme l’ont été le Juge Borrel et le Colonel Bogoreh ?

La technique des suicides programmés par le grand Maître IOG risque d’avoir les effets d’un
boomerang.