25/10/10 (B575) Rectificatif à la demande d’un correspondant.

Un correspondant, qui se présente comme un membre de la famille du Cadi Mogueh Dirir Samatar, tient à préciser, contrairement à ce qu’aurait sous-entendu le Sergent Ariko dans l’une de ses chroniques, que son beau-père est « un grand homme sérieux et honnête ».

Il nous précise qu’il n’est pas à Dire Dawa mais à Addis Abeba pour les mois d’été dans sa maison de Balbala Cheick Moussa et qu’il est en très bonne santé.

Nous donnons acte de ces précisions à notre lecteur et nous adressons nos excuses à sa famille, s’il y a eu une erreur dans un article.

Une exception qui confirme la règle ?

Nous prenons immédiatement contact avec le Sergent Ariko, afin qu’il vérifie ses informations, qui ont toujours été d’une précision remarquable. Jamais elles n’avaient été contredites jusqu’à présent, sachant que le contexte djiboutien est souvent dominé par la désinformation .. à tous les niveaux.

Qu’il se soit trompé ou qu’il ait été induit involontairement en erreur, le Sergent Ariko sera mis à l’amende. S’il récidivait, nous nous réservons la possibilité de demander à IOG son internement extra-judiciaire à Gabode. Cela ne devrait susciter aucune objection de la part du dictateur, qui, à notre avis, n’attend certainement que cela … car certains nous disent que les chroniques d’Ariko l’empêcherait parfois de dormir …. Allez ! Il a quand même d’autres soucis plus sérieux qui pourraient l’empêcher de dormir !!!