31/12/10 (B584) Radio-Trottoir Depuis mardi 21 décembre, les dangers sont là. (Lectrice)

Dans les hangars des dépôts d’El Gamil jeudi 23 décembre 2010

Une histoire très louche qui inquiète bon nombre de personnes.

Pendant trois jours plusieurs camions de la Garde Républicaine ont fait la
navette entre le port et les hangars d’El Gamil.

Non il ne s’agissait pas de transporter ni de protéger des denrées alimentaires, ni des produits de beauté. Il
s’agissait tout simplement de convoyer un stock d’armes illicites.

Bien que la Police et la Gendarmerie soient au courant, ni Interpol, ni le FBI ne se sont manifesté pour empêcher ce commerce frauduleux. Et pourtant, ces deux organisation se présentent comme les champions de la
lutte contre les trafics d’armes.

Combien faut-il payer pour conserver le silence ?

Dans les chantiers chinois de Hodan.

Les sociétés chinoises se permettent tout à Djibouti où elles se considèrent en territoire
occupé.

Non le silence et l’effacement de l’Inspection du Travail est incompréhensible et inadmissible. La paralysie du Tribunal du Travail ou du Ministère de l’Emploi tout aussi inefficace, dont une partie du personnel, y compris le Ministre ne sont que des bras cassés qui n’attendent qu’une chose, le versement de
leurs salaires, mais sans ne rien donner de leur temps en contrepartie.

La majorité des ministères ont opté pour le silence, pas de remous
dans les circonstances actuelles. Ce fou qui nous dirige encore, est en pleine déroute et il est devenu un homme
dangereux.

Soit on prend les armes contre lui où l’on s’écrase comme l’a dit si bien un conseiller
technique qui est lui-même sans bureau fixe.

Dans ce climat, où tout est bloqué, où les pauvres travailleurs n’ont
aucune possibilité de recours, la direction d’une société chinoise a renvoyé plusieurs
travailleurs sans même payer ni leurs salaires ni l’indemnisation dûe en ce cas.

Ecoeurés, les travailleurs ont frappé à plusieurs portes mais, pour leur malheur aucune porte ne s’est ouverte.

Face à l’arrogance des Chinois, qui se comportent chez nous, comme ils se comportent au Tibet, un jeune travailleur, poignard en main s’est fait lui-même Justice en égorgeant le caissier tout en s’emparant de la caisse. Puis il s’est enfui.

Et pendant ce temps, IOG se prélasse dans son nouvel avion de plus de 4 millions de dollars
supplémentaires après avoir vendu celui basé en Afrique du Sud.

L’Ambassade de
Chine, persuadé qu’il s’agissait d’un attentat monté par les Japonais, aurait envoyé une lettre officielle de protestation

Mardi 21 décembre 2010

Soirée de la honte au palais de la honte à Haramous.

De 20 heures à l’aube, les décibels d’une musique enivrante ont résonné sans interruption d’Haramous jusqu’à Gabode, Ambouli, Djebel sans oublier le Camp Lemonnier où les GI en tenue de Léopard ont pris trois camions et deux véhicules blindés de reconnaissance pour participer à cette fête (?).

Dès qu’ils ont identifié les blindés du Général Zakaria aux abords d’Haramous, l’Officier a donné ordre de se positionner pour surveiller si des terroristes ne faisaient pas partie des invités à cette
fiesta

Une attachée à la police des mœurs,
alias « petite oreille ».