20/04/11 (B600) Radio – Trottoir « If you sleep with a dog, You will wake up with fleas » Qui couche avec les chiens, se lèvera avec des tiques.

24 Okals Gadabourci ont bien dansé pour IOG durant la campagne !

En guise de remerciements ils ont été expédiés à Nagad – Défense de rire !

Lundi 14 avril au soir des heurts violents ont eu lieu entre Gadabourci pro IOG et les populations de Bilikbilbik quartier de Blabala fief des jeunes El SCHABAAB Djiboutiens.

Tôt mardi matin, 14 vieux Gadabourci sont partis voir leur ministre Saïd Barkat pour aller se plaindre car ils ont été victimes d’échauffourés après avoir courageusement défendu le candidat détesté par presque tous les Djiboutiens.

Le Ministre de la Justice, après avoir pleuré avec certains vieux très affectés, a immédiatement téléphoné au Ministre de l’Intérieur pour lui dire que 24 vieux Gadabourci allaient venir le voir et qu’il faudra parler de cette Affaire à la Première Dame chargée des « allogènes » comme disait Ali Aref.

Le Ministre de l’Intérieur les a immédiatement reçus avec honneur, et il les a écoutés gentiment. Avec un léger sourire aux lèvres il a rapidement téléphoné au Colonel de la FNP Abdillahi Abdi pour prendre des mesures sévères contre les
Jeunes Al Schabaab Djiboutiens.

Après avoir écouté les doléances des 24 vieux, le Colonel a téléphoné devant eux à la Première Dame et c’est au Garde-à-vous qu’il décrivit la situation inacceptable.

Après avoir résumé l’entretien à la « belle » Paulette, il demanda à ses gardes de corps d’affrêter un bus et un deuxième camion « bourré » de commandos anti-terroriste, pour accompagner les vieux afin d’arrêter les El Schabaab Djiboutiens à Balbala.

Dès le départ du Bus de la Police avec les 24 vieux, l’ordre fut donné par radio de conduire ces 24 « stupides » Gadabourci directement à Nagad afin qu’ils rejoignent une trentaine de jeunes « allogènes » arrêtés durant les affrontements.

Voilà, la façon dont le candidat criminel allergique aux Gadabourci, remercie ceux qui l’ont soutenu ! Maintenant qu’il est reconduit, il n’a plus besoin d’eux….

A qui le tour ?

Les gens ont vraiment la mémoire courte, sauf deux autres Ministres considérés comme « Allogènes ». Ali Abdi et Rikfi qui ne sortent plus de chez eux.

Le fidèle Ai Abdi s’était fait tabassé une semaine avant les élections par son remplaçant en tant que directeur de la logistique, un certain Elias, qui a surtout l’intention de s’approprier le poste de son cousin Fourlaba, « l’hyène repu » le vieux Johar bourré de frics.

Dimanche dernier le 17 avril l’épouse du Ministre Johar Fourlaba d’Ali Sabieh a invité la Première Dame chez elle.

Une soirée inoubliable avec de la musique langoureuse, qui s’est terminée sur fond de passions érotiques, uniques au monde.

Au moment de se quitter Johar et son épouse ont fait visiter à la grande Kadra, leur villa récemment rénovée avec des meubles venus spécialement d’Iran.

Le vieux Johar, n’a pas manqué de remettre discrètement à Paulette une grosse valise « diplomatique » contenant cinq cents mille Dollars US (500 000§) avec une promesse de paiement d’un million de Dollars dès qu’il sera reconduit à un poste de Ministre, avec une nette préférence pour les Télécommunications, son ancien domaine.

L’arrogant Rikfi ne sait plus sur quel pied danser. Son épouse est incapable d’inviter la première Dame, et pire, le jour des élections le pauvre « allogène » Rikfi, n’ayant pas pu trouver sa carte d’électeur, a été obligé de demander une ordonnance pour pouvoir voter.

Quelle humiliation d’avoir à trainer dans les Bureaux !

Pas de problème, car plus de quinze mille (15 000) Ordonnances du même type ont été délivrées (mais les titulaires ne présentaient -pas tous ?-, comme on s’en doute, les conditions légales requises pour les obtenir … ! Peu importe, s’ils s’engageaient à voter et à voter pour le bon candidat !!!

Ici, la Garde Républicaine suit avec des yeux envieux, les révoltes au Burkina Faso. D’ici à ce que cela donne des idées à certains ….

Rira bien qui rira le dernier.
Samia Aboudlkader Doualeh.
Mamassan et bras droit d’Odette