31/05/11 (B606) Vérité -> un pouvoir mal structuré où seuls les membres d’un clan bénéficient d’une vie meilleure et de poste à responsabilité, pendant que les citoyens nés sur cette terre sont contraints à la pauvreté.

A Djibouti, il y a un pouvoir mal structuré qui ronge la vie de la population et qui entrave la justice et la bonne gestion. Le clan au pouvoir est en manque de bon sens, car il n’apporte aucune amélioration à la vie et la liberté.

Ce petit pays est mal géré.

Il s’enfonce dans la pauvreté. Les dysfonctionnements sont nombreux dans les labyrinthes de divers ministères, qui sont aux mains des familles du régime obéissant scrupuleusement aux ordres dictés par l’homme de l’ombre : le Roitelet de Djibouti.

L’injustice, les détournements de biens publics, la violence, les arrestations abusives.

Ces agissements touchent toutes les couches de la société : des centaines de gens honnêtes sont détenus sans raison valable et ils croupissent dans la prison. Gabode est surpeuplé et les détenus sont plongés dans des conditions précaires.

Certains y séjournent pour des raisons tribales, d’autres pour leur appartenance aux partis d’opposition ou syndicats.

Les responsables de la prison sont des pervers authentiques. N’ayant aucune notion de la conduite d’un service pénitencier, ils sont choisis sur des bases uniquement ethniques par la Qabyo et Hachin Afwenweh. Le peuple suit de très près leur comportement, car ils prennent les directives directement auprès du Roi.

IOG refuse l’ouverture et la dialogue, il préfère d’employer la force pour arriver a ses fins et surtout pour conserver le pouvoir et l’argent sale en dansant avec les membres de son clan. Mais il a du sang sur les mains et il a très peur que le peuple exige son départ immédiat.

IOG a reçu beaucoup d’aides internationales, mais il ne les a jamais utilisées pour lancer des vraies réformes afin de mettre un terme à la mauvaise gouvernance, à l’injustice galopante et pour apporter aide et assistance aux plus démunis.

Et pourtant, la communauté internationale assiste, sans ne rien dire, aux agissements corrompus de ce pouvoir clanique et borné qui détourne les fonds et qui maintient le peuple dans la pauvreté.

Tous les partis d’opposition sont réduits au silence. Leurs leaders et leurs responsables ont été chassés, violentés, détenus. Leurs domiciles sont souvent fouillés illégalement.

Le tyran, ce dictateur inhumain, interdit toutes les actions organisées par les représentants de la communauté. Il utilise souvent la force pour éliminer les hommes honnêtes qui seraient pourtant aptes à diriger ce bout de terre.

Le peuple le méprise, les jeunes le haïssent. Les citoyens prient nuit et jour que le bon Dieu sauve le pays de la tyrannie et du clanisme. IOG est l’homme qui a mis le système de clan pour diviser la population et placer ses proches à toutes les directions de l’État et ce, pour seul motif d’étouffer les autres communautés et de garder le pouvoir et son trône de pacotilles.

Chères soeurs, chers frères, IOG ne mérite pas de diriger notre pays. C’est un raciste, c’est un homme de clan, c’est un faible cancre qui refuse la compétence, la réussite des citoyens. Il déteste les vrais Djiboutiens nés sur cette terre.
AFAR- ISSAS – GADABOURSI – ARABE- ISSACK- DAROD- ETC.

Alors, le temps est venu de décider des mesures concrètes pour refuser son pouvoir aveugle qui détruit notre peuple et notre beau pays.