11/10/2011 (B625) Radio Trottoir (Lecteur) IOG est déstabilisé !

IOG est déstabilisé, il ne reste plus qu’à l’interner pour « Paranoïa critique » dans un centre de Santé, de préférence à la prison de la Santé pour ses atrocités tant pour la Veuve du juge Borel assassiné et l’Avocat français refoulé de l’Aéroport de Djibouti

Un Colonel du SDS est promu ministre en guise de récompense pour les persécutions commises contre les populations Afar.

Le Dictateur Djiboutien, qui se sentait très puissant, commence à s’écrouler, son seul refuge est le SDS, il n’a plus confiance en personne, même pas à Garde dite « Républicaine » dont les recettes sont sur le point de s’effondrer.

L’instable IOG se sent traqué de tous les côtés ; il sent que même les Chancelleries ne lui font plus des cadeaux gratuits, c’est tout à fait normal car à force de manger à tous les râteliers, aucune puissance n’a confiance en lui.

Sur le plan diplomatique :

  • on connaît sa position à l’égard de son ancien ami Kadafi (très bien) ;
  • on connaît sa position à l’égard de l’ami de Bgabo El Béchir du Soudan (positions discourtoise à l’égard des Juridictions de la CPI) ;
  • mais on ne connaît pas encore sa position à l’égard des populations Yéménites qui sont mobilisées, avec abnégation, détermination et courage, depuis janvier dernier, le silence d’IOG face à la sauvage répression du Peuple frère du Yémen voisin par son ami le dictateur qui est revenu à Sanaa est plus qu’inquiétant ;
  • lui qui critique facilement le régime de son ex-ami le dictateur d’Erythrée, qui au moins n’est pas membre de la mafia transrégionale comme IOG ;
  • mais on ne connaît pas encore sa position à l’égard de l’occupation du Golan Territoire de la Syrie occupé par l’Administration d’ Israël et ses Forces armées ;
  • mais on ne connaît pas encore sa position à l’égard des sauvages répressions des Populations de la Syrie en difficultés face aux pressions de son voisin Israël.
Le dictateur voleur des élections et voleur des deniers de l’Etat, ne pourra jamais répondre à ces constats car comme on dit à Djibouti, « il ne fait que se regarder dans son miroir ».

Avant et depuis le printemps Djiboutien du 18 février 2011, la répression sanglante se fait plus en plus dangereuse, même les Colonels ne sont pas épargnés d’ailleurs le récent cas est choquant.

Oui, après l’assassinat du Colonel Bogoreh de la Gendarmerie, de la tentative d’assassinat de son cousin tribal le Colonel de la police attire l’attention internationale et nationale sur la situation des risques des règlements claniques et dramatiques en République de Djibouti, où la Presse Libre a été sauvagement décapitée, et sans Presse Libre : la Liberté d’Expression et le Droit à la Libre de Communication sont étouffées.

L’Etat d’urgence à Ali Sabieh, après Tadjourah et Obock montre clairement que notre pays est classé sur le plan International non plus comme une République, mais comme une dictature militaire doublée d’un régime despotique avec sa famille, ses enfants et des clans tribaux à la solde d’une clique membre de la mafia transrégionale.

C’est dans ce contexte d’instabilité politique, économique, financière et sociale que des soit disant réformes sont infligées d’en-haut, et même la fragilité des nominations aux postes ministériels sont manipulées par la police politique et les éléments des Forces de Sécurité à la solde d’Haramous.

C’est ainsi qu’hier le tortionnaire des populations Afars le Lieutenant Colonel Hassan Omar Bourhan dit Hassan « Gacanlo » (Hassan le manchot) qui avait dirigé les dernières répressions à Arhiba, les répressions sanglantes et les Exécutions Extrajudiciaires, ainsi que le refoulement des Afars vers la frontière de l’Ethiopie, toutes ses répressions viennent enfin d’être récompensées par celui qui se sent Impuni et obnubilé par la Folie des Grandeurs, hélas encore, à la tête de la République de Djibouti.

Les sites comme Djibouti24 bien connu ou Yes We Can Change Djibouti (qui se revendique) est un mouvement d’intellectuels Djiboutiens anonymes ayant comme objectif principal la diffusion d’une information juste, vraie et libre. « mais par une information de la SDS avec les termes » de « son DSK DJIBOUTIEN » alors que le gouvernement Djiboutien a pour surnom depuis 1999 de gouvernement « Mohamed Ali Bordel » sans autres commentaires.

Ces sites téléguidés par la SDS sont à mon avis, « des fruits pourris » tout comme la pseudo opposition d’Aden Robleh Awaleh, député (aux bottes de son patron de la SDS « l’Ethiopien IOG » d’après son chou de journal).

Ce chou d’IOG-ADEN ROBLEH n’a jamais parlé à l’Assemblée l’UMP dont ils sont membres à part entière, en tant que Président du RPP de l’UMP, du PND…

Le dernier chou de son journal dit « République de l’UMP » était scandaleux car il n’a fait que voler DES ARTICLES comme son ami IOG, tous deux présumés complices de l’attentat du Café de Paris à Djibouti.

Les motifs réels du limogeage du Ministre de l’Education Docteur Adawa Hassan Ali sont très clairs et feront certainement l’objet d’explications plus détaillées après la publication officielle du « Journal Officiel » souvent censuré par le patron adjoint un certain M.Hassan (responsable du site J.O. de la Présidence de la République), connu pour ses connotations avec la mafia régionale notamment les supporters techniques des pirates.

Baxwell un vieux Djiboutien
qui aime la vérité.