11/01/2013 (Brève 090) Il  a rendu l’âme … mais pas le pognon !

Sans aller jusqu’à partager ce message reçu d’un opposant à propos du décès de Djama Haid et nous refusant à altérer la mémoire d’un disparu, l’équipe de l’ARDHD, en toute objectivité, ne peut que reconnaître qu’il y a un fondement certain dans cette épitaphe un peu particulière.

Djama Haid, frère de Kadra et donc beau-frère d’IOG présidait aux destinées de la Banque centrale de Djibouti.

Récemment, il avait été victime d’un AVC très sérieux et il avait été évacué sur Nairobi, plutôt que sur Paris, car
les médecins craignaient que le temps de trajet ne soit trop long.

Le bon sens populaire lui attribue une participation active dans les détournements frauduleux de l’argent public et une complicité dans des transferts d’argent compromettants, tant pour mettre à l’abri l’immense fortune que se serait constituée la famille Guelleh et ses proches, que pour faciliter des commerces internationaux illicites, dont la vente d’armes et le trafic de substances non autorisées.

Nous n’en dirons pas plus, pour respecter la douleur de ses proches et nous espérons que le tribunal divin lui accordera toute sa clémence.