03/10/2013 (Brève 264) ALERTE ROUGE. Le ballet diplomatique se serait mis en place pour trouver une issue à la séquestration de Mohamed Alhoumékani. Les trois clowns seraient-ils renvoyés au vestiaire des artistes sans talent ? (trois rumeurs pour lesquelles nous attendons des confirmations)

Selon une source djiboutienne, généralement bien informée, nous sommes en mesure de diffuser les informations suivantes, mais en informant nos lectrices et nos lecteurs qu’il faut les considérer avec la plus extrême prudence, tant que nous n’aurons pas reçu de confirmation .

Les clowns licenciés ?
L’Escale aurait décidé de licencier pour faute grave les trois clowns, (à savoir le Corbeau repenti, avocat félon de nature, connu sour le nom de Maître Mohamed Aref, son complice Grandes oreilles, connu sous le nom de Procureur Djama Souleiman et leur associé commun, le Procureur Maki).

L’échec cuisant de leur mission à Sanaa, qui s’est soldée au mieux par le maintien provisoire de Mohamed Alhoumékani en prison, mais en aucun cas par son extradition vers Djibouti, aurait généré une grande colère du côté du Palais de l’Escale. Qui dit grande colère, dit mesure immédiate.

Ils pourraient avoir été tous placés sur le banc de touche, avec interdiction de jouer désormais dans la cour des grands, comme ils avaient pu le faire jusqu’à maintenant. Si l’information est vérifiée, ce sera pour eux, le début de la descente aux enfers et, pour reprendre la formule d’un observateur, que nous citons : « le retour au ruisseau, d’où ils n’auraient jamais dû sortir », (mais nous n’irons pas jusque là – Note de l’ARDHD)

Ballet diplomatique franco-belge ?
Il se murmure que la France a (enfin !) décidé de s’occuper du cas de Mohamed et que l’Ambassadeur en poste à Djibouti, aurait pris contact avec le Président yéménite pour lui recommander de relâcher Mohamed Alhoumékani et de cesser de le séquestrer uniquement pour les beaux yeux de la Paulette et de son époux princier ….

La Belgique ne serait pas en reste non plus. Le consul de Belgique, résidant à Ryiad serait en route pour Sanaa, afin d’assister à la libération d’Alhoumékani.

Nous répétons que ces informations (diffusées en exclusivité) ne sont pas encore vérifiées à l’heure où nous les publions, mais on pourrait espérer, si elles sont confirmées, que Mohamed puisse être libéré dès dimanche, c’est à dire le jour de reprise du travail dans les administrations yéménites après le repos hebdomadaire des vendredi et samedi.