08/07/2014 (Brève 411) Abadallah Deberkaleh auraitt-il pu être la cible de mercenaires à la solde de la Poulette d’IOG ? (ARDHD)

Dubaï n’est pas répertorié comme un endroit dangereux où l’on assassine et où l’on tue à chaque coin de rue. Bien au contraire, la volonté des autorités du pays, qui misent énormément sur le tourisme, ne disposant pas de toutes les réserves énergétiques de ses voisins, est de proposer des séjours dans un endroit tranquille et épargné de violence.

La police et les services secrets sont mobilisés pour garantir la sécurité des personnes et des biens et ils sont particulièrement efficaces.

L’agression dont a été victime Abdallah Deberkaleh est-elle l’oeuvre de voyous, justiciables de droit commun ? Il y a quand même peu de chance, sachant que de telles agressions sont tellement rares dans l’Emirat …

Alors faut-il envisager la main de professionnels, envoyés dans ce but et payés pour atteindre leur cible : notre ami Abdallah Deberkaleh qui n’a jamais été particulièrement apprécié de la Poulette, pardon la Paulette d’IOG ….

Selon les dernières informations, grâce à ses systèmes de vidéo-surveillance, son organisation et ses accords de coopération avec le sultanat d’Oman, émirat voisin, la police de Dubaï aurait identifié les agresseurs et elle aurait peut-être déjà procédé à l’arresation d’un ou plusieurs agresseurs.

Nul doute que l’implication d’Haramous ne puisse être écartée … Récemment Dubaï a refusé la demande d’extradition de Boreh et n’apprécierait pas non plus la gestion locale de ses investissements réalisés à Djibouti, depuis qu’il en est parti ….

De toutes les façons, une agression comme celle-là ne peut qu’être une mauvaise publicité pour un émirat qui souhaite attirer les riches touristes en leur garantissant sécurité et tranquillité …. L’émirat a-t-il un autre choix que de réagir et de confondre les coupables, surtout s’il s’agit de mercenaires à la solde d’Haramous, ce qui n’est pas encore démontré à l’heure actuelle.

Nus renouvelons tous nos voeux de bon rétablissement à Abdallah Deberkaleh.