22/02/2019 (Brève 1301) A lire sur LOI cette semaine, deux informations concernant les biens de la famille Guelleh et le discret voyage de Tournaire à Djibouti

Dans le dernier numéro payant de LOI (1492 du 20fév19), nous avons relevé deux informations importantes.

++ « L’escapade » de Tournaire à Djibouti.
Le déplacement du Juge Serge Tournaire, à propos duquel nous nous sommes déjà longuement exprimé, est confirmé par LOI. Ce qui est intéressant c’est que ce média insiste sur l’importance pour le Juge de pouvoir auditionner Wahib Nacer, réfugié dans son pays natal et impossible à contacter sans l’aval de la fameuse juge Lamisse Mohamed Saïd (et d’Haramous qui donne manifestement les directives à appliquer par les juges djiboutiens sans possibilité de les discuter). On comprend entre les lignes, que la mise en examen de Kadamy pourrai être une « courtoisie » indispensable pour obtenir la coopération de la justice djiboutienne….

Nous sommes bien incapable de répondre aux lecteurs qui nous posent des questions à propos de la « sérénité » qui a conduit le juge à prononcer la mise en examen de Kadamy. Etait-il convaincu que c’était une décision équitable ou voyait-il l’ouverture que Djibouti lui offrait en échange et ce, dans un dossier capital ?

++ « L’escapade » de Tournaire à Djibouti.
Le déplacement du Juge Serge Tournaire, à propos duquel nous nous sommes déjà longuement exprimé, est confirmé par LOI. Ce qui est intéressant c’est que ce média insiste sur l’importance pour le Juge de pouvoir auditionner Wahib Nacer, réfugié dans son pays natal et impossible à contacter sans l’aval de la fameuse juge Lamisse Mohamed Saïd (et d’Haramous qui donne manifestement les directives à appliquer par les juges djiboutiens sans possibilité de les discuter). On comprend entre les lignes, que la mise en examen de Kadamy pourrai être une « courtoisie » indispensable pour obtenir la coopération de la justice djiboutienne….

Nous sommes bien incapable de répondre aux lecteurs qui nous posent des questions à propos de la « sérénité » qui a conduit le juge à prononcer la mise en examen de Kadamy. Etait-il convaincu que c’était une décision équitable ou voyait-il l’ouverture que Djibouti lui offrait en échange et ce, dans un dossier capital ?


++ Biens mal acquis de Paulette et de sa fille.
Les deux appartements de luxe à Paris, acquis par le couple princier et pour un autre par la fille, sont l’objet d’une plainte pour biens mal acquis. Ils auraient été financés par des prêts personnels ‘à long terme’ consentis par deux banques française ou leurs filiales : le Crédit agricole et la BRED.

L’histoire ne dit pas si ces établissements ont exigé des garanties, comme elles le font pour de simples particuliers qui souhaitent acquérir leur logement principal. Nous ne savons pas non plus qui paye les échéances ni leur montant et si elles sont respectées.