26/08/2019 (Brève 1439) Encore un exemple de non-respect de la parole donnée par les plus hauts-dirigeants du régime autoritaire de Guelleh

Mohamed Moussa Mohamed, professeur des écoles, révoqué de son poste par une décision arbitraire et illégale des ministres de Guelleh. Voici ce qu’il écrit :

«  »RIEN NE SERAIT PLUS GRAVE QUE TRAHIR LA PAROLE DONNEE »

Suite à l’arrangement à l’amiable engagé par la PRIMATUR , en l’occurence Mr ABDOULKADER KAMIL MOHAMED, dans l’affaire MOHAMED MOUSSA C/ MENFOP, il avait été convenu la présentation des excuses sur le réeseau social en contrepartie de la régularisation de la situation administrative.

Compte-tenu des événements intervenus par la suite, il s’agit d’
une parole donnée et d’un engagement non respectés  malgré une décision judiciaire devenue définitive rendue par la justice et favorable à MOHAMED MOUSSA.

Par conséquent, ce dernier est victime d’abus de confiance caractérisé de la part du PREMIER MINISTRE, Mr  ABDOULKADER KAMIL MOHAMED, lequel a décidé sa révocation à son Insu.

Dans la vie, il y a ceux qui donnent leur parole et qui ne la respectent pas et il y a ceux qui donnent leur parole et qui la respectent. Ces derniers sont de plus en plus rares;

 » IL Y A UN HONNEUR A RESPECTER LA PAROLE DONNÉE   »

Autre explication possible, le Premier ministre et le ministe de l’Education (MENFOP) sont-il sous l’influence d’une personne, ami ou pas qu’ils préfèrent croire sans ne chercher aucune explication !

De toutes les façons, le résultat est là : la parole donnée n’a pas été respectée. C’est vraiment bien dommage.

MOHAMED MOUSSA MOHAMED.