23/04/02 L’Agence Djiboutienne d’Ismaël (ADI) ne manque pas de toupet. Les  » dindons  » de la farce macabre d’Ismaël Omar.

Fidèle
à sa tradition de " falsification des vérités
" l’ADI ( Agence Djiboutienne d’Ismael…et de désinformation
) ne manque pas de toupet en réagissant 4 jours plus
tard, soit le 22, pour essayer maladroitement de donner, sur
le plan international, une image contrefaite des événements
du jeudi 18 avril 2002 justifiant ainsi l’ordre donné
de tirer à balles réelles sur des militaires qu’elle
reconnaît comme étant des invalides de guerre ainsi
que sur leurs familles qui les assistaient dans leur déplacement.

"
Le parquet aurait ouvert une enquête axée sur l’éclaircissement
des circonstances dans lesquelles ont pu survenir de tels incidents…
"
a t-on l’aplomb d’écrire comme si les
morts et les blessés n’étaient que des incidents,
des accessoires très secondaires…dans une logique
" guellienne " que nous saurions admettre.

En se risquant
à banaliser grossièrement une telle attaque, odieuse
et intentionnelle, à l’égard d’invalides de guerre et
de leurs familles qui les accompagnaient, le journaliste, auteur de
cet article insipide, s’est délibérément placé
en marge du respect de l’humain comme l’ont fait Hassan Saïd
et le Lieutenant colonel Adbo Abdi Dembil, " exécuteurs
des basses œuvres d’Ismaël Omar " qui devront répondre
de leurs actes assassins, en temps et en heure, devant un Tribunal
pénal.

Là ne s’arrête
pas l’humiliation faite aux militaires djiboutiens, pour faire bon
poids, bonne mesure l’ADI en " rajoute une couche " et nous
impose un supposé communiqué du Haut Commandement militaire
qui s’attache à tenter de dresser un bilan idyllique des actions
supposées accomplies en faveur des démobilisés
invalides.

De qui se moque
t-on ? qui espère t-on tromper par de telles hypocrisies imaginaires
?.

Comme dans la
magistrature il existe un " journalisme debout " et "
un journalisme assis ".
En l’espèce, l’ADI ( Agence Djiboutienne d’Ismaël…et
de désinformation ) a créé le " journalisme
couché devant l’abject ", sans un mot de compassion pour
les familles de ces militaires décédés ou blessés
et leurs enfants.