28/06/04 (B253) Que s’est-il passé à Londres ? De nombreux témoignages font état d’une crise grave provoquée par les agents de Guelleh, dans l’espoir de créer la zizanie entre les Afar et les Issa de Djibouti, qui s’entendaient trop bien à leur goût.

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Lecteur 1

Je suis vraiment déçu
par ce qui s`est passé le soir du 27 Juin à Londres.

Les faux informations
et les diffamations qui ont été présentées par
le chef d`orchestre de l’opération qui est Mohamed Aden Dougsieh, sont
absolument intolérables et inadmissibles.

Ce Monsieur est l’un des
espions à la solde de Guelleh le dictateur. Il a voulu faire croire
que les Afars avaient demandé une somme d`argent pour participer à
la fête du 27 Juin.

Comme d`habitude, les
Falasha ont voulu éloigner une fois de plus les Afars de leur pays.
Cet ex-chanteur du groupe Harbi de l`armée nationale de Djibouti vit
actuellement en exil en France. Et il voudrait devenir le père des
Djiboutiens de Londres.

Mohamed Aden Dougsieh
est un homme natif de Dire Dawa. Il habitait à Aft Issa. Comme tous
les Falasha il imagine que Djibouti leur appatient, probablement parce qu`ils
n`ont pas d’autres endroits pour planter leur tente dans la région.
Ils sont chassés par les autres Tribus d’Ethiopie. Comment l’un des
leurs a-t-il pu devenir le Président actuel de Djibouti ?

Il faudra qu’ils cessent
de penser que ce se sera toujours dimanche pour eux.

Mohamed Aden Dougsieh
n’est qu’un déserteur de l`armée. En son temps, IOG l’avait
gracié à condition qu’il accepte d’espionner les jeunes Djiboutiens,
en échange. Les Afar ont déclaré simplement qu`ils ne
voulaient pas célébrer le 27 Juin en compagnie d’un Falasha,
qui voulait organiser la cérémonie à sa manière.

Pour se venger de l’affront
reçu en pleine tête, Dougsieh n’a rien trouvé d’autre
que d’allait raconter que les Afar avaient demandé de l`argent, en
échange de leur participation.

Les afars sont des gens
doux et courtois qui n`ont jamais hai leur pays.

Nous voulons montrer au
monde que Mohamed Aden Dougsieh est un analphabète.

Cela suffit à prouver
qu’il ne sait même pas de quoi, il parle. Nous le considérons
comme un nothing comme disent les Anglais : un moins que rien !

Mais du côté
des Issa de Djibouti, ne ressentent-ils pas une certaine honte, de savoir
qu`un Falasha prétend les représenter ? Les Afar et les Issa
de Djibouti se comprendraient sans difficuluté ni haine, s`il n y avait
pas le virus instillé en permanence par les Falasha.

Comme eux, nous sommes fiers de notre petite terre.,

Monsieur Dougsieh, le
Falasha, cherchez vous vite un refuge car l`heure de la vérité
va bientôt sonner et vous l’entendrez. Les identités diverses
et variées (avariées ?), que vous utilisez en permanence ne
seront pas suffisantes pour vous cacher.

Les archives de Djibouti
avant 1977 seront accessibles au nouveau régime qui sera élu
en 2005 avec un Président Djiboutien à 100% (et non un Président
natif de l’Ethiopie et ayant la double nationalité française,
ce qui le rend inéligible), sans oublier son Ministre de l`Intérieur
Abdoulkadir Doualeh Wais qui pourrait bien être le premier a quitter
la République de Djibouti, sans tambours ni trompettes et sans un sous
vaillant.

Il est rentré à
Djibouti en qualité de demandeur d`asile et il quittera djibouti tel
qu`il est arrivé.

Dieu nous aidera à
corriger les erreurs de l’histoire et à récupérer nos
droits et notre patrimoine.

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Lecteur 2

LONDON 27.06.04

Les fallachas ont mis le feu entre les vrais Djiboutiens Afar et Issa de souche.

Ils avait d’abord invité
les Afar à participer à la fête du 27 juin et ils leur
avaient proposé d’organiser des danses, de chanter et de participer
comme membres à part entirèe au Comité d’organisation.

Dès que le Gouvernement
félon de Djibouti a appris la chose, ils ont aussitôt donné
des ordres pour éviter à tout prix que les Afar et les Issa
puissent fêter l’évennement en bonne intelligence et sous le
signe de l’amitié. Les ordres étaient :

1 – Aucun dicours en langue Afar,
2 – Aucune récompense pour le chanteur Afar,

Tout donner aux Somaliens de Somalie

3 – Le chanteur et les
danseurs traditionels Afra doivent acheter leur billet au même titre
que les spectateurs pour avoir le droit de participer.

4 – Même si les
Afars faisaient parti du Comité, il ne devaient pas assister aux réunions.

Quelle justice ?

C est une discrimination totale, les Afar qui vivent à Londres sont
des gens dignes et solidaires. Malheureusement les fallachas fourbes ont fini
par trouver quatre jeunes marionnettes, ingénues et naïves (d’origine
Afar ??), à qui ils ont du promettre la lune en leur disant qu’elles
avaient été choisies spécialement pour représenter
la culture AFAR en Angleterre. Les donzelles ont tout avalé sans comprendre
qu’elles étaient les malheureuses victimes d’une opération honteuse.

Jamais je n’aurais pu penser qu’il y avait encore des jeunes filles aussi
naïves ! Mais elles se sont fait avoir par les bobards de la bande à
Guelleh et par des promesses illusoires. C’est comme cela, mais c’est bien
triste.

M.
A.
de Londres