27/01/2025 (Brève 2452) Rêvons durant quelques minutes : si toutes les Djiboutiennes et tous les Djiboutiens parlaient … des incarcérations injustifiées, des menaces quotidiennes, de leur appauvrissement, de la dégradation des services publics…
Jusqu’à maintenant ,le régime se maintient en terrorisant son peuple. Combien de familles ou d’informateurs ont renoncé à s’exprimer au nom de l’Omerta, que le SDS et autres organisations à la solde de Guelleh, imposent à la population ?
Imaginons un instant que la majorité des Djiboutiens parlent de ce qu’ils subissent chaque jour : emprisonnement arbitraire et torture d’un proche, viol d’une fille, d’une épouse ou d’une voisine, spoliation de l’habitat familial, etc…
++ Que se passerait-il ?
Nul doute qu’il y aurait des arrestations. Mais très peu, car le régime ne dispose pas des moyens ni de places suffisantes à Gabode, pour enfermer toute la population du pays.
Tous les Djiboutiens doivent être solidaires, s’ils sont victimes directes ou indirectes de ce régime dictatorial et sanguinaire. La soidarité est les moyen infaiilible de mettre un terme à la dictature.
++ ALORS, il n’y a plus de temps à perdre.
Organisez-vous au sein de chaque ethnie ! Que les différents conseils des sages se rencontrent et s’accordent sur des moyens et des objectifs. La rivalité n’est pas tribale, elle doit être uniquement orientée vers un seul objectif, qui est prioritaire; celui de mettre fin à la dictature d’IOG et de ses obligés. Il appartiendra ensuite aux partis politiques d’opposition d’organiser la transition et des élections démocratiques et libres.
++ Commençons par le commencement !
L’union de tous les Djiboutiens, qui veulent en finir avec le musélement des idées dissonantes et la terreur, est indispensable. « L’Union fait la force ! ». Cessons toute rivalité intérieure parce qu’elles sont organisées par un régime moribond, qui espère se maintenir au pouvoir et même perdurer.
Chacune et chacun doit parler. Se taire, c’est encourager le régime. Certains disent même être complices. Nous n’irons pas jusque là, mais la protection individuelle de chacune et de chacun sera assurée par le groupe tout entier.
La liberté, dans le respect des Lois est un droit international. Les dictatures n’y ont pas leur place.