04/01/06 (B331-B) Sur les défenseurs des Droits de l’Homme …. (De notre correspondant à Djibouti)

Courrier du 1 janvier 2006

Monsieur le Directeur,

Je viens de lire par hasard un article du journal le Progrès du 25 décembre dernier.

Cet article, sous la plume d’un adepte de la philosophie, spécialiste de Hegel et de Nietzsche dans sa logique de dénigrer, à chaque fois, les Opposants Djiboutiens au régime alimentaire qui demeure encore par la force et sans aucune assise populaire, tombe magistralement dans ses propres propos. La suite ne peut pas être plus…

En ce premier jour de l’an 2006, permettrez-moi de vous souhaiter une bonne et heureuse année à vous, à vos proches et à vos lecteurs.

Que 2006 soit l’année du Combat contre l’Impunité, que 2006 soit une année fructueuse pour le long et juste combat des Opposants Djiboutiens à ce régime dictatorial sans nom.

Un étudiant djiboutien activiste des droits humains.

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« …Mon fils », dit le maître courtois
« ceux qui meurent dans la colère de Dieu
arrive ici de tous pays ;
et ils sont prêts à traverser le fleuve,
car la divine justice les presse,
et leur peur change en désir.
Par ici ne passe jamais une âme bonne,
et si Charon se plaint de toi,
tu comprends à présent quel est son dire… »

 

la divine comédie L’ENFER
par DANTE

QUI DESINFORME SYTEMATIQUEMENT ?

Le Journal (Le Progrès) est en proie à la pauvreté intellectuelle.
Ce n’est pas le Progrès c’est les « Pauvrés »

Le jour de Noël, le 25 décembre 2005, (peut-être, par confession de foi), le sporadique journal « Pauvrès 144 » a fait sortir son « torchon » oh pardon sa « feuille de chou » avec essentiellement trois articles de fond, dont l’un sur la philosophie du Droit vu certainement et dans l’anonymat par un grand philosophe de l’homisme, grand penseur de « Pauvrés ».

Le gros de cet article intitulé : « Droits de l’homme ou droits de l’homisme ? » dans sa première tranche, tourne autour d’une bonne pédagogie (avec beaucoup d’interprétations démagogiques) sur l’histoire de la philosophie des droits de l’homme.

Cet article est assorti de citations de Hegel, de Nietzsche et évidemment de Marx, comme une base historique de référence, afin de se donner bonne conscience, afin de minimiser les violations inhumaines, dégradantes, les violations constantes du respect à la dignité humaine, les traitements humiliantes et inadmissibles à l’égard des civils : citoyens djiboutiens, des étrangers (réfugiés et immigrés) présents sur le Territoire de notre République Djibouti.

Fash sur un Prof de Philo. éjecté du lycée de Djibouti, ou une manière de démontrer les répressions au quotidien sur les enseignants honnêtes.

« Un sacré prof. de Philo. a eu le culot de donner la note de 07/20 à la propre fille d’Ismaël, note interprétée par le fils d’Omar en 0,7/20 (une virgule mensongère), le petit fils de Guelleh aurait poussé des cris de douleurs en disant : c’est pas un prof. de philo celui-là, on n’a jamais vu des notes inférieures à zéro.

Automatiquement le Ministre de l’Education de radier ce courageux prof. de l’effectif des professeurs du Lycée de Djibouti. A bon entendeur salut ».

Tout d’abord quelques points positifs brièvement commentés pour rétablir la réflexion :

«… dans la maison commune de la Cité, les bornes en question ne peuvent qu’être déterminées que par la loi ».

C’est vrai, mais lorsque le Chef de l’Etat et son équipe entravent la Loi voir même la Constitution et que la Haute Cour de Justice reste en permanence paralysée par une Assemblée monocorde et aux ordres, qui ne peut vraiment pas se saisir ; alors il ne s’agit plus d’une maison commune, il ne s’agit plus d’une Cité commune.

« Par cette liberté citoyenne, chaque homme trouve dans ses semblables, non point la réalisation, mais plutôt la limite de sa liberté… » dira Marx.

C’est vrai, mais le communisme a vu aussi la limite de ses entraves pratiques à la liberté, de ses entraves dans le musellement de l’information (voir actuellement le blocage systématique de certains sites internautes qui dénoncent les exactions du régime en déperdition), avec, tout comme certains nostalgiques du communisme, pour seule ambition : celui de se maintenir surtout au Pouvoir, et ne jamais appliquer ses propres lois à consommations internationales.

Quant à sa vision sur l’Afrique, il n’est pas nécessaire, de se pencher sur la philosophie des Coups d’Etat en Afrique, surtout quand les Coups d’Etat Electoraux persistent encore dans notre pays, et assèchent l’économie de la République de Djibouti. Ceux qui volent les élections ne peuvent que voler les Biens du Pays.

Voyons encore, deux citations du Philosophe grand spécialiste du billet age de « Pauvrès »

Dans l’avant avant dernier paragraphe et dans l’élan de sa démonstration incohérente, pour ne pas dire de ses amalgames qui volent bas, l’auteur anonyme, professeur de surcroît, cite Nietzsche : « Nul ne ment autant qu’un homme indigner »

Merci pour cet « éloge » car effectivement et sans mentir :
1. les Défenseurs des Droits Humains sont indignés face aux récents tueries d’Arhiba ;
2. les Défenseurs des Droits Humains sont indignés face aux détournements continus et incontrôlables des Deniers et des Biens Publics ;
3. les Défenseurs des Droits Humains sont indignés face aux pressions inadmissibles pour freiner l’Indépendance Totale de la Justice ;
4. les Défenseurs des Droits Humains sont indignés face aux harcèlements intolérables des Travailleurs et des Responsables Syndicaux luttant pour leurs droits économiques et sociaux.

Le spécialiste et probablement adepte du droit de l’homisme, juste vers la fin et afin de mieux étoffer la pièce maîtresse de ses fausses trivialités, de ses passes partout consistant à écrire le plus naturellement possible des leitmotiv de contrevérités, a ensuite glissé sur sa thèse doctorale « AVEC UNE FAUSSE NOTE DIFFAMATOIRE pénalement répréhensible ( 4 et 5ème paragraphes avant la fin) » tout en terminant sur UN ton de Hegel dans la Raison de l’Histoire : Rien n’est plus aisé que de critiquer et de se donner de bonne conscience en croyant tout mieux savoir que les autres.

Il est plus facile de donner les carences des individus, des Etats, du cours du monde que de reconnaître leur véritable valeur. Il est plus aisé de repérer les défauts que le positif qui est là et qui crève les yeux. C’est faire preuve d’une grande superficialité et d’intentions souterraines que de ne voir partout que du mal sans voir ce qu’il y a d’authentique. »

Il est difficile d’extrapoler sur une thèse philosophique uniquement basée en prélude d’un minable procès d’intention, et ce sans connaître la suite de cet article de l’Organe de propagande du Parti du Chef de l’Etat.

Le ou les à suivre… fera(ont) l’objet d’une étude détaillée par les activistes de la Ligue sur le QUI DESINFORME SYSTEMATIQUEMENT.

D’ores et déjà, ces points importants sont à méditer et en être conscient :

1. comme avait prévu le Regretté Mohamed Ahmed Issa (Cheiko) lorsqu’il dénonçait, (dans le cadre de la prévention des conflits), les dangers « du dépassement de la limite » qui sont à chaque fois inéluctablement conflictuels ;

2. il est important d’alerter les risques des dangers imminents, de la politique vénale tendant inexorablement vers la fin du dépassement de la limite de l’entendement, du dépassement de la limite par la propagande (se disant) étatique, propagande mensongère basée sur la désinformation et le blocage récent des informations indépendantes des organisations nationales et internationales ;

3. les dépassements de la limite, par les Autorités en place, ne peuvent que conduire le pays vers l’anarchie avec tous les risques d’être pour longtemps non maîtrisable, avec toutes ses horreurs et ses lots macabres, que depuis peu de décennies, bon nombre de pays de notre Continent subissent hélas ce triste sort.

A très bientôt, et un petit conseil, il faut éviter, autant que possible, de tomber à l’avenir dans l’hérésie…Sinon…

Thème à l’attention de mes cadets du Lycée en classe Terminale :

CE QUI NAÎT DE LA CROYANCE
ET DU BIEN ET DU MAL DE L’HOMME

(7) « Je dois donc, dis-je, concevoir un homme parfait si je veux dire n’importe quoi concernant, le bien et le mal de l’homme ; cela parce que si je traitais du bien et du mal, par exemple, dans Adam, je confondrais alors un être réel avec un être Raison, ce qu’un vrai philosophe doit éviter avec soin pour des raisons que nous exposerons par la suite ou dans d’autres occasions. »

Spinoza dans le
Traité de la réforme de l’entendement
N.B.
Le passage souligné n’est pas souligné dans le texte de Spinoza.

DROITS DE L’HOMME: RÉFLEXION SUR UN CONCEPT : REFLEXION SUR UN CONCEPT VIDE DE SA SUBSTANCE ;

Droits de l’homme ou droits de I’homisme ?

Le concept de droit est vieux comme l’homme, depuis surtout que celui-ci a montré qu’il est « capable d’une seconde naissance celle qui l’introduit à l’ordre culturel », comme disait Hegel, et produit les différentes formes successives de ce- monde que représentent les sociétés humaines avec leurs différentes institutions (mœurs,structures politiques, mais également, sciences techniques art, etc…

Mais il n’a pas attendu la modernité, ni le développement économique et social pour s’exprimer concrètement.

Dans les modes de production, les plus anciens et dans les organisations sociales les plus rudimentaires, il a continué à marquer de manière omniprésente les usages sociaux ainsi que les rapports régissant les membres de communautés et de groupements humains. Son omniprésence s’est toujours manifestée sous forme de codes, de lois écrites et non écrites agissant comme des bornes non naturelles, à la libre activité des hommes.

Des contraintes qui empêchent (l’homme est un loup pour l’homme, disait Hobbes), que l’action de chacun ne soit pas préjudiciable à l’autre et à la collectivité toute entière pour que cette grande marge de manoeuvre naturelle qui est donnée à l’homme, je veux dire la liberté, ne se transforme pas en source de capacité de nuisances imparable.

Un élément d’appréciation nouveau va soulever la question du rapport entre volonté générale et volonté particulière, la première n’étant pas comme le précise Rousseau, comme la somme de la volonté des individus, ni la résultante des intérêts privés, mais l’expression d’une forme de transcendance dont le peuple, la communauté seraient la source: la loi.

Dans la maison commune qu’est la Cité, les bornes en question ne peuvent être déterminées que par la loi.

« Par cette liberté citoyenne, chaque homme trouve dans ses semblables, non point la réalisation, mais plutôt la limite de sa liberté », dira Marx.
On ne peut faire et dire n’importe quoi, sous prétexte d’en faire valoir un usage de sa propre liberté.

On ne peut faire et dire n’importe quoi, sous prétexte d’en faire valoir un usage de sa propre liberté.

Le droit s’est défini comme le fondement des règles régissant les rapports des hommes en société On parle du droit positif, c’est-à-dire un ensemble de lois en vigueur dans un pays à une époque donnée.

Conçu comme un système objectif de contrainte, il est destiné à assurer la paix sociale et pour fin, d’évacuer la violence dans les sociétés humaines, il s’identifie à l’Etat (Hobbes) qui a travers la justice, lui donne un relief expressive instrumentalisé.

Le mot sera utilisé au pluriel, on évoquera des droits de peuple à disposer d’eux-mêmes au siècle dernier, dans la Charte de l’ONU, principe qui servira de prélude juridique à la décolonisation, mais qui a été bafouée, rappelons-le par la Conférence de Berlin avec le partage de l’Afrique entre les grandes puissances européennes.

Il sera question également de “ Déclaration Universelle des Droits de l’Homme “, et l’on souscrira dans les Constitutions, les droits des citoyens chez nous, et à l’instar des pays démocratiques.

Le concept d’Etat de droit fera aussi son apparition, notre pays franchira un pas hautement symbolique, le Ministère de la Justice aura aussi la charge de Droits de l’Homme dans le seul souci de consolider l’Etat de droit, initiative qui est consubstantielle à un processus de renforcement, de la démocratie et du pluralisme politique naissant.

Les politiques d’ajustement structurel et les résolutions de la Conférencé de La Baule, aidant, on assistera à une floraison d’antennes locales d’organisms étrangers, de surveillance des Droits de l’Homme dans les pays du Sud, en général, fonctionnant souvent sur un mode de sélectivité qui porte parfois la marque d’une subjectivité indiscutable. Et la question que l’on peut légitimement se poser, aujourd’hui, c’est de savoir comment identifie-t-on les atteintes aux Droits de l’Homme ? Corrélativement qui est mandaté pour les constater et de qui tire-t-on la légitimité de les faire?

Si la défense des Droits de l’Homme est prise en charge par toutes les Constitutions de régime démocratique, ce principe se trouve dans la Charte de l’ONU, de l’UA, de l’UE, etc…, appelant les Etats membres à les respecter.

Force nous est de reconnaître que les questions ne peuvent pas, ne pas recevoir des réponses pertinentes, justes et objective. dans le but de faire le deuil de toutes ces zones d’ombres qui l’enveloppent, des arrière-pensées qui y sont l’oeuvre jusqu’à en travestir les contenus, notamment par l’omniprésence de charge politico idéologique qui agit, comme un écran de fumée dissimulant mal les réels objectifs de focalisation.

Si le continent africain a connu, quelques temps seulement, après sa décolonisation, une série d’événements qui ont vu le pouvoir passer à des militaires avec des coups d’Etat à répétition, les hommes en uniforme pensant instaurer des changements par la suspension des institutions et des formations politiques existantes, la question de violation de Droits de l’Homme, devenait pourtant patente, sans que la communauté internationale et les organismes de Droits de l’Homme s’en émeuvent, l’explication réside dans la nature du paysage politique internationale, notamment la division en sphères d’influence des régions concernées occultant ouvertement les moindres inquiétudes et protestations à ce sujet, sur fond d’affrontements idéologiques Est/Ouest.

Sortis à peine des tiraillements stratégiques et idéologiques qui leur confinaient à un rôle d’objet et non de sujet de l’histoire, de leur propre histoire, les Etats africains devaient affronter les défis d’un processus de démocratisation engendré par la queue de cyclone Gorbatchev. Les PAS et un nouvel arsenal terminologique faisaient leur entrée en des gouvernements nationaux, de l’aide, liens démocratie/développement, les conférences nationales, toutes les invariants constitutifs d’une dynamique d’affaiblissement des Etats, l’attention des institutions financières internationales devant désormais être focalisée sur un nouveau concept: la lutte contre la pauvreté à partir des années 90, même si la problématique s’émancipera progressivement du poids de la rhétorique pour obtenir ses lettres de noblesse, au sommet du Millénaire avec les OMD ; cela constitue, en soi, une prise de conscience des puissances les plus riches de la planète, notamment à l’occasion des G 7 (réflexion sur le moratoire de la dette, puis son effacement pour un certain nombre de pays).

Les Etats africains font ce qu’ils peuvent. Et sur le plan politique, des avancées notoires dans le domaine de la démocratie sont réalisées, situation qui, paradoxalement, a coïncidé avec les thérapies de choc aidant, avec l’affaiblissement de leur base sociale.

L’échec de certains partis politiques d’opposition, à saisir les opportunités qui leur sont offertes par le jeu démocratique, préférant se cantonner comme à Djibouti, dans une attitude antidémocratique de dénonciations de toute compétition électorale.

Parallèlement, on assistera un essaimage d’officine s’autoproclamant “ association par-là, ligue par-ci des Droits de l’Homme qui se sont révélés, en fait, les porte-paroles de ceux-là qui ont brillé par leur incapacité de promouvoir un quelconque projet alternatif, quand ils ne trouvent pas refuge dans la désinformation systématique ou l’allégeance à tout ce qui contredit le chemin d’édification d’une société moderne, de plus en plus éduquée, et donc mieux outillée à l’appropriation des enjeux des temps actuels, des exigences propres à un monde qui se globalise chaque jour davantage.

Les Droits de l’Homme ce sont d’abord, les droits à être éduqués, à être soignés, à être formés, les droits de la femme à participer aux efforts de développement, et à la représentation élective, ils s’expriment d’une manière générale à travers les stratégies de lutte contre la pauvreté, conduites par les gouvernements nationaux, les droits d’exprimer son choix, à travers le vote, l’égalité des chances devant l’accès au savoir et à l’éducation pour tous, de manière indifférenciée, le droit au travail.

Si nous sommes tous d’accord sur le caractère essentiel des Droits de l’Homme, on ne peut reconnaître le monopole exclusif de l’assurer, quand on sait surtout l’usage qui en est fait, en devenant un concept « parapluie » une pratique derrière laquelle on se plaît à cacher toutes sortes de manœuvres et au premier desquelles cette propension à épingler le pouvoir politique institué et à tirer à boulets rouges sur les réalisations des gouvernements du verdict populaire et du jeu démocratique.

Mais là où les dérives atteignent leur paroxysme, c’est lorsque, au nom justement” de la défense des Droits de l’Homme, on persiste et signe avec les opposants tous les manquements au fonctionnement normal des institutions de l’Etat, à la cohésion de la communauté nationale, comme cet appel à la violence armée de ces derniers temps, ou la revendication de l’attentat survenu à Souda, ou la divulgation d’informations mensongères sur la situation réelle du pays, quand ce ne sont pas des injures inqualifiables à l’endroit du Président et de son épouse. Que fait-on donc de la dignité et de l’honneur, du respect que l’on doit exprimer, au nom précisément des Droits de l’Homme?

Il y a là, assurément, un glissement insoutenable du principe des Droits de l’Homme vers cette vulgate politico idéologique, qui agit de manière souterraine dans les eaux troubles de l’opposition, s’exprimant par des indignations à répétitions, dans des communiqués foncièrement mensongers.

“Nul ne ment autant qu’un homme indigner “, nous dit, Nietzsche: Ces officines se trompent s’ils sont convaincus qu’ils pourraient donner une bouffée d’oxygène à ceux que l’histoire ne repasse plus les plats et pour lesquelles le temps de la disette des possibles est commencé depuis longtemps.

Le droit de l’homisme se développe, nous le savons dans l’anti-chambre ou plutôt dans la périphérie de l’action politique qui change les cours des événements, transforme la vie économique et sociale d’un peuple, qui anticipe, innove, réforme, l’action politique autonome, endogène, souveraine, convaincue que la contrainte multiple de la réalité est le seul témoignage qu’un vaste champs de ressources nous y est potentiellement ouvert.

“Rien n’est plus aisé 4e de critiquer et de se donner bonne conscience en croyant tout mieux savoir que les autres. Il est plus facile 4onner les carences des individus, des Etats, du cours du monde que de reconnaître leur véritable valeur. Il est plus aisé de repérer les défauts que le positif qui est là et qui crève les yeux. C’est faire preuve l’une grande superficialité et d’intentions souterraines que le ne voir partout que du mal sans voir ce qu’il y a d’authentique “ (Hegel – La raison dans l’histoire).

Les formes expressives
du droit de I’homisme,

elles peuvent être catégorisées comme suit :

1. – L’indignation comme attribut essentiel
2. – La victimisation comme logique de fonctionnement
3. – La collusion avec toute opposition au gouvernement mis en place;
4. – Usage systématique de la désinformation
5. – Image caricaturale du pays de référence;
6. – Dramatisation de contexte de référence;
7. – Relais et caisse de résonance de toute opinion hostile au leadership politique national
8. – Rôle de pyromane et de pompier à la fois.
A suivre…