08/06/07 (B399) Radio-Trottoir : les querelles de clocher à l’Ambassade de Djibouti à Bruxelles. (Info lecteur)

Dans
un article publié dans les colonnes de l’ARDHD, nous avons appris
qu’une belle empoignade avait opposé une employée de l’Ambassade
à l’épouse d’un diplomate.

Pas
de morts ni de blessés, dans cette scène tragique ! Dieu
merci !

L’auteur de l’article
qui semble relater les fais, trace aussi clairement le portrait de
Hour…, le célèbre policier de la représentation
diplomatique de Djibouti en Belgique.

Mais
est-ce (volontairement ?) qu’il aurait passé sous silence le rôle
Oh combien médiocre de la non moins célèbre Aïc…
Celle-là même, qui a toujours rempli avec brio les sâles
besognes qui débordent systhématiquement des activités
ménagères dont elle aurait normalement la charge :

Par exemple :
– celle de nous filmer lorsque nous manifestons devant l’Ambassade,
– celle de nous traquer à longueur de semaines sur le sol belge
à la recherche d’éventuelles informations etc etc…

Parois,
elle épaule avec efficacité le policier dans sa mission,
au profit du  » vice tyran  » : Moussa Chehem, Prince des Noisettes.

N’oublions
surtout pas, que ces deux personnages et le diabolique Moussa Chehem,
sont tous des enfants de la  » cour de Haramous « .

En
essayant de voir d’un peu plus près la problématique
de cette Ambassade, on peut noter facilement, que c’est le grand boxeur
du royaume, catégorie WBC super poid lourd, Mohamed Moussa
Chehem lui-même qui organise les match de box ! Prend-il aussi
les paris ?

Quand
il ne sent pas la forme pour disputer personnellement un match contre
un de ses collaborateurs, il en organise un entre des membres du personnel
ou leurs familles, comme c’est le cas en ce moment.

Pour parler franc, ces maneuvres de soit-disante  » guéguerre
« , ne consistent-elles pas à nous détourner des véritables
problèmes ?

Bien
sûr que si !

D’autant plus que ces dernières semaines, les opérations
de séduction envers les réfugiés se multiplient,
dans l’unique but de leur faire exécuter des numéros à
l’occasion de la réception qui sera donnée à l’ambassade
pour fêter le trentième anniversaire de l’indépendance
de Djibouti.

Sur ce sujet, les Djiboutiens de Belgique ne transigeront pas !

Pas question de s’associer à l’Ambassade pour célébrer
l’indépendance de leur pays. De toutes les manières, l’ambassadeur
a soigneusement sélectionné ses invités. Il a choisi
uniquement celles et ceux, qui auront pour tâche, de l’amuser durant
la soirée devant un parterre d’invités, constitués
essentiellement d’officiels belges et, de diplomates étrangers
en poste à Bruxelles. Pas question de recevoir des opposants, ni
des gens qui pourraient contredire d’une façon ou d’une autre les
thèses officielles sur le renouveau de la République, la
situation florissante de l’économie, un chômage quasi inexistant
et autres sornettes maison.

Donc
celles qui ne savent pas chanter le malaabo, ceux qui ne savent pas danser
le harrimaadeh et le horra, n’auront pas leur place dans la salle du trône
, pardon, de réception, c’est très clair !

Pour
gagner un billet d’entrée, les impétrants devront présenter
des  » qualités  » artistiques de très haut niveau
: cabrioles, saut sans parachute, …

Sinon, on reste chez soi, devant son poste de télé ( humour
)!

D’ailleurs,
un comité parallèle et non gouvernemental d’organisation
des festivités du trentième anniversaire de l’indépendance
de Djibouti, serait en train de se constituer à Bruxelles, comme
partout en Europe et ailleurs…..

Pour
terminer, soyez toujours et encore plus sur vos gardes. Evitons de voir
nos énergies et notre attention dispersées par des spectacles
organisés pour nous désorienter.

Moussa Chehem et ses collaborateurs et leurs familles, se ressemblent
tous !