02/05/04 (B245) Qui a remarqué cette petite phrase de Guelleh dans son interview contestée parue dans Jeune Afrique ? Aden Robleh sera-t-il jeté en pâture, pour protéger IOG ! (Lecteur)

Avez-vous noté
cette petite phrase de GUELLEH dans l’interview de J.A qui a été
signalé par le site de l’ARDHD.

Ismaïl Omar Guelleh : « Un scandale franco-français »

« Cet attentat, ( comprendre celui dit du « Café de Paris »
) dont les auteurs ont été jugés et condamnés,
a été commandité par Aden Robleh et ses camarades à
partir d’Addis-Abeba (…).

Désormais coincé, IOG cherche à faire diversion en jettant
en pature à la Justice française ce pauvre ADEN qui lui a pourtant
fait allegeance depuis.

Après la petite phrase tribalo-sectariste de son Premier Ministre dans
la precedente édition de ce même organe (« le peuple djiboutien
est composé de 2 ethnies, les afars et les issas. »), la déclaration
iogienne accusant ADEN alimente toutes les discussions des mabraz à
DJIBOUTI.

Cette affaire du Café de Paris n’ayant jamais été close
en France, les familles françaises qui y avaient perdu les leurs et
les citoyens djiboutiens injustement accusés et torturés à
l’époque ( près de 200 personnes toutes issues de la même
communauté Gadaboursi) ont sous la main, un témoin de taille,
IOG en personne, pour obtenir réparation.

Chère ARDHD, vous feriez une action salutaire, une de plus, en donnant
à ce temoignage d’IOG, le plus grand retentissement pour que cela arrive
jusqu’aux familles des victimes de l’attentat en question.

Quant à ADEN, le traître, il saura tout l’estime que lui porte
IOG qui l’a elevé au rang de député pour mieux servir
de monnaie d’échange… le moment venu.

Parions en effet que pour se sortir du guepier Borrélien, IOG n’hésitera
pas à lever l’immunité du « deputé Aden » si
la France le lui demandait en vertu de l’ accord d’extradition la liant à
Djibouti… Histoire de montrer sa bonne disposition à l’endroit de
l’ex puissance tutélaire, en dépit des vertes gracieusetés
proferées dans J.A.

CQFD : on comprend les diaboliques desseins d’iog de coopter le pauvre
ADEN au sein de son parlement.