30/06/04 (B253) Ma réponse s’adresse à l’auteur de l’article « B253 ou opposition djiboutienne » (Lecteur)


Vous parlez du tribalisme et vous nous expliquez qu’il faut à tout
prix l’éviter, car il tue.

Et pourtant, vous pointez
du doigts plusieurs personnes qui appartiennent à la même tribu
(Awad = gadaboursi, Hachi = gadaboursi, Salid = gadaboursi, leur soirée
animée par Omar Osman Rabeh = gadaboursi). Est-ce de cette façon
que vous espérez apporter des solutions aux problémes (divisions)
ethniques des Djiboutiens d’Ottawa, dont la cause est à rechercher
au niveau du dictateur Ismael Omar Guelleh et des équipes qu’il entretient
dans ce but ?

S vous détestez
les Gadaboursi, comme votre contribution le laisse clairement paraître,
alors soyez cohérent avec vous-même et évitez de nous
faire un cours de moral sur le tribalisme.

Il n’y a pas plus Djiboutien
que le professeur Omar Osman Rabeh (je lui rends hommage) et il n’y a pas
un Djiboutien à Ottawa qui soit mieux placé que lui pour nous
parler de Djibouti et de son histoire.

Puisque vous nous affirmez
que vous êtes aussi, un vrai Djiboutien de souche (je n’ai aucune raison
de ne pas vous croire), puis-je vous conseiller d’entrer rapidement en contact
avec O.O.Rabeh. Dans le cas contraire, si vous n’êtes pas un Djiboutien
de souche, je ne peux que vous recommander de laisser les Djiboutiens régler
leurs affaires en famille à Ottawa.

Le 27 juin concerne avant
tout les Djiboutiens.

Personnellement, je n’ai
jamais été d’accord avec AWAD, mais je respecte ses idées
(nous sommes tous des Djiboutiens).

J’espere que vous allez
répondre positivement à mon invitation.

Vive
les Djiboutiens.

Un
Djiboutien
d’Ottawa.