20/04/05 (B294) Le Corbillard d’amour, pastiche de la Maladie d’amour. C’est la Fin d’un Pouvoir usé ? (correspondant – humour)

EMBARQUES
TOI et ne reviens plus jamais.
Aucun Port ne t’attend dans cette Corne de l’Afrique

Il et
elle courent et courent les maladies d’amour
Qui unit les cheveux blancs les cheveux gris
Malgré des cachotteries. (Chanson d’amour et d’égarement)

Théâtre
à 8 et 7 temps

Mince
! J’ai perdu la boussole électorale, mais qui ose, dire la vérité,
qui ose écrire (après ma perte de vitesse) à la BBC «
in » Somalo-Ismaël « langage » ?

Dans tous
les cas (ici) plus de Blancs !
Preuve à l’appui, les pages du journal africain dit « intelligent
», sans inversion et sans version alimentaire, n’est-ce pas ?

Ici à
Djibouti, à part le vieux CHIRAC, tous les autres Blancs sont dans
leurs sous-vêtements : « souveraineté » oblige.

Terme
vulgarisé en langage vulgaire dans « Jeune à fric Afrique
l’Indigent » avec un rythme « bouge, fonce et bonde".

Quand
la Dame se fâche, les blindés noirs bougent foncent et bondissent,
Quand la Dame se fâche les avions baladent-ballottent-bambochent.

Pendant
qu’il est temps…

AU REVOIR
ET SANS RETOUR !

GET OUT
!

Attention
! Sinon quel bordel !

Le mérou
de Doraleh est décidé à se battre.