01/07/05 (B305) Radio-Trottoir : D’un accord à un autre / Quand « le petit Sharon de Djibouti », interpelle Israël (Un cadre de l’EDD)
« Je demande à Israël d’appliquer les accords signés avec les Palestiniens ». C’est par ces mots que le dictateur Djiboutien s’est adressé au gouvernement Israélien avec lequel il ne semble pas avoir de contentieux
Dans un discours prononcé au Palais présidentiel le 27 juin dernier, et en présence d’un nombre impressionnant des forces parallèles en civils, le despote local s’est vraiment « lâché » donnant crédit aux rumeurs persistantes sur son état psychologique.
Les Djiboutiens savaient que le mal élu était un fourbe inguérissable, il viennent à présent de découvrir que l’autocrate qui les opprime a vraiment perdu les pédales.
Car en interpellant Sharon au sujet des accords que l’Etat Hébreu a signé avec les Palestiniens, IOG a vraiment donné l’entière mesure de son irresponsabilité.
Quel sort a-t-il réservé aux accords de paix que son propre Gouvernement a signé avec l’ex Opposition armée Djiboutienne.
Se souvient-il, lui le redresseur des torts, de l’accord signé avec le regretté Ahmed Dini ?
Lamentable fanfaronnade d’un imposteur, que le misérable discours du 27 juin, très éloigné des véritables préoccupations du peuple Djiboutien.
N’en croyant par leurs oreilles, certains à Djibouti n’hésitent plus à qualifier IOG de FOU.
D’autres plus prudent rétorquent que le fou est celui qui a tout perdu sauf la raison
Quoi qu’il en soit nos concitoyens qui ont massivement désavoué ce potentat d’autre âge lors de la dernière présidentielle inédite en Afrique, perdent patience. Plus choquant encore, ce régime en déperdition ose provoquer une prochaine consultation électorale après la déroute historique du 8 avril 2005, alors que le peuple dans son ensemble attend sa démission. Faute de quoi son lynchage est proche.
Jusqu’où ira ce pseudo stratège politique que le peuple vomit pour avoir pillé, appauvri et déstructuré la société Djiboutienne ?
Mais il faut garder espoir, car la terrible canicule de cet été doublée par les pannes d’électricité (de huit heures par jour) qui court-circuitent les milliers et milliers de lampions, qui continuent, tant bien que mal, à éclairer depuis le 25 juin et ce nuit et jour les grandes artères en ruines de la capitale.
Il faut garder espoir, car cette terrible canicule n’augure rien de bon pour les appétits insatiables de ce stupide dictateur et de sa cour prédatrice ;
Demain sera vraiment un autre jour si par leurs mains assemblées les Djiboutiennes et Djiboutiens boutaient hors de l’Escale cet ogre moderne aux pieds d’argile… Tous ensembles aux sons des casseroles.