10/02/09 (B485-B) Radio-Trottoir : les derniers potins du front ! (Lecteurs)

A mon avis, mais cela n’engage que moi, je trouve qu’il soit normal de se demander pourquoi Alain Romani reconnu pour "sa parfaite connaisance des finances et des mécanismes de transferts internationaux " a obtenu la concession du Casino de la Corne d’Afrique situé dans l’Hôtel Impérial, qui appartiendrait en sous main à Liban, le fils d’IOG.

Rappelons-nous que le bâtiment "La Mouette" avait été bradé, puis rénové aux "frais de la princesse". Même la Garde Républicaine avait activement participé aux transports du mobilier.

Pourrait-on considérer que cette concession constitue une certaine forme de reconnaissance pour un travail rendu ? Mais lequel ? Bien que j’ai une petite idée là-dessus, je laisse le soin à vos lecteurs de se forger la leur …

Un fidèle lecteur
du bullettin de l’ARDHD.

_____________ RFI a-t-elle intenté une action pour le préjudice subi ?

Est-il vrai que RFI aurait déposé une plainte contre l’Etat de Djibouti pour obtenir le paiement de dommages et intérêts, suite à la fermeture de son antenne sur place et à la détérioration de son matériel qui était installé dans le Centre d’émission de Djibouti ?

___________ L’ONU voudrait-elle appliquer la censure de l’information ?

Probablement, en application d’instructions venues directement de Washington, le couple OULD-IOG voudrait contraindre la presse au silence sur les événenement de Somalie : "Ould suggested a one month moratorim on any kind or reporting on the conflict in Somalia" (Traduction non contractuelle réalisée par l’ARDHD – seul le texte en Anglais fait foi ) "Ould propose un moratoire d’un mois sans reportage d’aucune sorte sur le conflit somalien")

Les Nations Unies ont-elles opté pour la "méthode de Djibouti" afin d’étouffer la voix des Journalistes indépendants Somalis qui assurent leur mission d’information, souvent au risque de leur vie. .

Espérons que les Associations comme Reporters Sans Frontières réagiront rapidement aux violations de la liberté d’expression que le Conseil de Sécurité des Nations Unies voudraient imposer, car elles sont contraires à l’esprit et à la lettre de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme sur la Liberté d’Expression et le droit à l’Information entre autres.

Khadra Ali Abdi.