22/05/2023 (Brève 2224) POMPE A FRIC EHONTEE ! La redevance perçue lors d’une demande de visa n’est pas remboursée en cas de refus

22/05/2023 (Brève 2224) POMPE A FRIC EHONTEE ! La redevance perçue lors d’une demande de visa n’est pas remboursée en cas de refus

Les taxes et droits perçus par les services consulaires français ne sont pas remboursés, même en cas de refus. (entre 32,5 et 120 € (soit env 6.500 à + de 23.000 FDJ).

Un beau Jackpot pour le Consulat de France à Djibouti quj, peut-être en application des instructions du Palais de l’Escale, refuse systématiquement toutes les demandes si elles n’èmanent pas de familles proches du pouvoir.

Venez faire votre demande. Telle est l’invitation sur le site de l’Ambassade. On prend vos économies, on refuse et on garde les sous.

On comprend la réaction des Djiboutiens qui affirment ne plus avoir confiance dans l’Ambassade de France à Djibouti. Préfèrent-ils désormais s’adresser à d’autres Ambassades européennes, déposer leurs demandes à Addis Abeba ou tenter de traverser en bateau de fortune, en dépit des risques.

A quoi sert cet argent ? A financer les services consulaires ? A permettre au petit potentat local d’arrondir ses fins de mois ? Partage-t-il les bénéfices avec l’Ambassadrice ? Nous n’avons pas la réponse à ces questions et nous notons simplement que c’est une pompe à fric bien huilée !

Est-il légal et conforme aux règles du commerce de faire payer un service qui n’est pas rendu ? Puisque selon les observateurs, le consulat de Djibouti refuserait la majorité des Visas demandés, tout en conservant les droits perçus d’avance. Selon plusieurs sources, dans l’immense majorité des cas, il n’y aurait aucune analyse du dossier, mais simplement deux ou trois cases cochées systématiquement sur un formulaire impersonnel. Cela suffirait-il à justifier le montant des frais encaissés ? NON à l’évidence !

En tout cas, cette perception « difficilement justifiable en cas de refus » a une conséquence directe : celle d’assécher les économies des populations qui ont déjà tant de difficultés pour payer le quotidien. Est-elle mise en place pour soutenir la politique de la dictature qui vise prioritairement à ruiner les Djiboutiens et le pays ?