20/02/2025 (Brève 2485) Les Djiboutiennes et les Djiboutiens sont-ils satisfaits des conditions de vie et de liberté au pays ?

S’il on comptabilise le nombre d’engagements individuels (anonymat garanti) pour participer à l’élaboration et aux actions pacifques du Collectif pour la Libération du Peuple à Djibouti (CLPD), la répoinse est clairement OUI. La dictature conviendrait à la majorité !!!

Il est honnête de rechercher les freins possibles :

++ projet totalement apolitique et non clanique. Le projet ne concurrencera jamais aucun parti politiqiue, puisque son objectif est de libérer le peuple et de créer les conditions de la démocratie et donc au final de les aider,
++ projet très peu soutenu par les partis politiques de l’opposition qui se sont contentés d’encouragements chaleureux, sans surtout ne s’engager à réfléchir et à travailler, pour engranger des résultats au bénéfice de la population, (?)
++ peur de la répression au pays
++ une expérience de plus qui fera « Pschitt » comme les précédentes : GED, ODU, UAD, USN et CTD, entre autres….
++ et surtout nous avons reçu de très nombreux soutiens du projet… à condition que ce soit le voisin qui travaille et pas moi … ?

Doit-on abandonner le projet ?

++ Qui perdra ? Les populations civiles sans aucun doute, qui se retrouveront une nouvelle fois sans défense, avec des partis pôlitiques ronronnants …

++ Qui ganera ? Enocre Guelleh, sa famille et ses obligés qui s’enrichissent honteusement sur le dos des populations civiles djiboutiennes « asservis » et « ruinés » et qui n’hésitent plus à les tuer avec des armes de guerre téléguidées juste pour s’amuser à faire des exemples et à vérifier leur efficacité en situation réelle.

La réponse va dépendre de l’engagment des Djiboutiens. Sont-ils malheureux ou contents sous la férule du dictateur ? Le nombre d’engagemnts sérieux reçus demain vendredi à 14h déterminera les choix que nous devront faire concernant le Projet de Collectif et la poursuite des acivités de l’ARDHD.

Contact avant vendredi 14 heures
equipe@ardhd.org
ou +33 (0)1 46 34 70 70