23/06/2025 (Brève 2503) Le site HCH 24 complete les informations qui sont utilisées par le régime d’IOG pour poursuivre illégalement Abdirazak Bandouq.

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Djibouti : La vidéo piège fabriqué contre Abdourazak Bandouq est une manipulation dont les contradictions flagrantes…

Depuis ce matin samedi 21 juin 2025, deux vidéos (A et B) circulent sur les réseaux sociaux djiboutiens, instrumentalisées par des membres du régime clanico-mafieux de Djibouti pour accuser Abdourazak Bandouq d’être l’auteur de la vidéo B. Pourtant, une analyse minutieuse des séquences révèle des contradictions irréconciliables qui démontrent que Bandouq ne peut pas être le réalisateur de la vidéo B. Bien au contraire, ces incohérences prouvent que les deux vidéos ont été tournées par le même individu, dans le but évident de piéger Abdourazak Bandouq.

  • Contradiction N°1 : L’Impossible Position du Caméraman de la Vidéo B 

Dans la vidéo A : La personne identifiée comme Abdourazak Bandouq marche perpendiculairement à l’arrière de la voiture V8 noire (Toyota Land Cruiser V8 ZX 2020, hauteur 1,9m). Son épaule gauche est au niveau de l’arrière du véhicule, son visage est orienté perpendiculairement à celui-ci. Il se trouve à moins de 20 cm de la voiture, un smartphone dans la main gauche collé à sa poitrine. Il ne s’arrête pas et ne ralentit pas. 

Dans la vidéo B : Le caméraman filme explicitement l’arrière de la même voiture V8 noire. Il commence son mouvement à environ 6 mètres de l’arrière du véhicule, se rapproche jusqu’à environ 3 mètres, et son visage est constamment aligné avec l’arrière de la voiture pendant toute la séquence. 

Conclusion logique : 

Si Bandouq était le caméraman de la vidéo B, il serait donc positionné face à l’arrière de la voiture, immobile ou se déplaçant parallèlement à elle. Cette posture est radicalement incompatible avec celle du piéton de la vidéo A, qui traverse perpendiculairement à toute vitesse, sans s’arrêter et sans orienter son visage ou son téléphone vers l’arrière du véhicule. Bandouq, dans la vidéo A, est physiquement incapable de filmer la scène montrée dans la vidéo B au même moment.

  • Contradiction N°2 : La Disparition Inexpliquée de la Voiture Grise et de la Mendiante en Mouvement 

Dans la vidéo A : Au moment précis où la personne (Bandouq) passe derrière la voiture V8, une voiture de couleur grise passe juste à côté de lui et de la V8. De plus, la fille mendiante avec l’enfant au dos commence à bouger vers le magasin Bonaparte à ce même instant. 

Dans la vidéo B : La séquence filmée depuis l’arrière de la V8 montre un environnement totalement différent. Il n’y a aucune trace de la voiture grise passant à côté. Pire, la fille mendiante avec l’enfant au dos est parfaitement immobile, elle ne bouge pas du tout. 

Conclusion logique : 

Ces éléments mobiles critiques (voiture grise, mouvement de la mendiante) sont absents de la vidéo B alors qu’ils sont centraux et simultanés dans la vidéo A. Si les deux vidéos montraient le même instant sous des angles différents, ces éléments devraient forcément apparaître dans les deux. Leur absence totale en B prouve que cette séquence a été filmée à un moment différent, excluant que Bandouq (occupé à traverser la route en A) puisse être le caméraman de B.

  • Contradiction N°3 : L’Invisibilité du Caméraman de la Vidéo B dans la Vidéo A 

Dans la vidéo A : La caméra (tournée depuis le haut du magasin Bonaparte) montre une vue large de la scène devant le magasin, incluant l’avant de la V8 noire et ses alentours immédiats. 

Dans la vidéo B : Le caméraman se place directement derrière la V8, à une distance variant de 6 à 3 mètres, face à son arrière. 

Conclusion logique : 

La position du caméraman de la vidéo B (derrière la voiture, face à elle) le place nécessairement dans le champ de vision de la caméra supposée de surveillance (vidéo A), surtout vu la proximité (3-6m) et la hauteur de la voiture (1.9m). Pourtant, aucun individu dans cette position précise et filmant activement n’est visible dans la vidéo A. Cette absence est inexplicable si les deux vidéos étaient filmées simultanément et confirme que la vidéo B a été tournée en l’absence du piéton (Bandouq) montré en A.

  • Qui est le vrai auteur ? La Preuve par la Chronologie et la Maladresse 

Les contradictions ci-dessus mènent à une seule conclusion cohérente : 

a.  Le même auteur a réalisé les deux vidéos. 

b.  Il a d’abord tourné la vidéo A depuis le haut du magasin Bonaparte avec son smartphone, en filmant une personne (qu’il identifie comme Bandouq) traverser la route et passer derrière la V8. 

c.  Ensuite, il est descendu et s’est placé derrière la V8 pour filmer la vidéo B, montrant uniquement l’arrière de la voiture. 

d.  Cette chronologie explique parfaitement les contradictions : 

  L’absence de la voiture grise et du mouvement de la mendiante en B (car filmées à un autre moment). 

   L’absence du caméraman de B dans le champ de la vidéo A (car il n’était pas encore en position). 

    L’impossibilité pour le piéton filmé en A (en mouvement rapide et perpendiculaire) d’être le caméraman statique/parallèle de la vidéo B. 

L’objectif est clair : Créer artificiellement deux angles de vue d’une même scène pour accuser Bandouq d’avoir filmé la voiture (vidéo B). Mais la maladresse de l’auteur a laissé des incohérences flagrantes qui démontrent la manipulation.

  • Conclusion : Un Piège Grossier Démasqué 

Les contradictions techniques, temporelles et spatiales entre les vidéos A et B sont indéniables et irréfutables. Elles prouvent de manière définitive qu’Abdourazak Bandouq ne peut pas être l’auteur de la vidéo B. Ces incohérences révèlent au contraire que les deux vidéos sont l’œuvre d’un seul et même manipulateur. La chronologie des événements reconstituée (tournage de A puis de B) et les éléments manquants ou incompatibles (voiture grise, mendiante immobile, position du caméraman) démontrent sans équivoque qu’il s’agit d’une tentative délibérée de piéger Abdourazak Bandouq en fabriquant de fausses preuves visuelles. La maladresse des auteurs de cette manipulation sert finalement de preuve accablante contre eux et innocente Bandouq du chef d’accusation monté de toutes pièces.

Hassan Cher