24/05/04 (B248) Le bla-bla érigé en principe de Gouvernement par le Régime d’IOG. Qui y croit encore aujourd’hui ? (Lecteur)
Une
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LE Encore un qui Quand on n’a pas Il ne suffit pas Du grain, il Pour en revenir |
D’abord jeter l’anathème
sur le vilain Aden Robleh, qui a eu la malencontreuse idée de s’obstiner
à rejoindre le RPP ; certes avec des circonstances atténuantes
(peut-on reprocher à un père de se sacrifier pour l’avenir de
ses enfants ?), DINI qui a failli perdre son patrimoine immobilier, la femme
de DAF abusivement licenciée de l’Administration.
Maintenant, c’est au tour
du Commandant IFTIN qui se fait copieusement spollié ses biens.
Arrive enfin le débat
de fond qui ne laisse plus place à l’improvisation : on attend les
remèdes proposés pour supprimer l’arbitraire et garantir le
droit de chaque citoyen, en appliquant les vieilles méthodes qui vont
toujours dans le même sens, à savoir créer et bercer d’illusion
le Peuple assoupi qui n’y comprend rien.
Mais voilà les
choses ont évoluées. Il oublie consciencieusement les autres
acteurs, l’ONU, les citoyens, les représentants des victimes, la Justice.
Il faudrait avoir toujours un niveau de candeur insoupçonnée
pour imaginer plagier les idées de l’opposition, ponctionner leurs
propositions pour résorber les déficits chroniques d’intelligence des
réflexions du RPP !
Le principe même
de l’équité est largement battu en brèche dans ce débat.
Nul doute que les citoyens
ne resteront pas aveugles ni sourds face à cette manuvre purement
politicienne. Encore une fois, c’est une comédie de l’esbrouffe qui
est mise en scène, une politique de la communication plutôt que
de l’action.
Le problème viendra
des Djiboutiens qui s’apperçoivent désormais qu’on les méme
en bateau et que ce sont toujours les mêmes qui bafouent le Droit dans
ce pays.
L’avertissement de l’AND
n’a toujours pas été interprété par nos dirigeants.
L’ordonnance et le bla-bla
d’IOG sont donc nuls et non avenus. Il devra trouver autre chose pour prouver
au monde que Djibouti n’emprisonne plus ses citoyens au nom de l’arbitraire
voire sans mobile ni procès. Sans doute n’y est-il pas prêt car
conduire une politique différente serait donner raison à DAF
et à ses amis.
Dans ce cas autant lui
laisser tout de suite la place en mettant sur le tapis, sa démission
(*).
(*) Note de l’ARDHD
: on ne parle pas encore d’abdication, mais nous n’avons pas tout entendu.
Au train où vont les choses … en terme de personnalisation et d’accaparement
du pouvoir, des biens de l’Etat et des moyens administratifs du pays, cela
pourrait venir ?