14/02/10 (B538) L’actualité en dessin par Roger Picon

Mettre un terme au racket des petits commerçants, obligés de contribuer au financement des campagnes électorales de Guelleh et à ses dépenses personnelles somptuaires
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En s’appuyant sur une politique clanique qui privilégie certaines communautés, dont la sienne, IOG contribue à faire jeter le discrédit et la responsabilité sur les Mamassan, dont la grande majorité (populaire) souffre, sans aucun privilège, des mêmes maux que l’ensemble des citoyens djiboutiens
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Détournement des aides internationales : des affaires commencent à sortir. Les organisations internationales, victimes de ses détournements vont-elles commencer à déposer des plaintes ? Et devant quelles juridictions ? Djibouti ou internationales ?
A Djibouti la presse est totalement libre ! Ne riez pas, c’est vrai, dans la mesure où il n’y a plus que des média du gouvernement et que tous les supports d’opposition ont été fermés sous différents prétextes. Quand ils dérangent les sites d’opposition sont interdits d’accès depuis Djibouti.
Miguil, l’un des grands artisans des détournements de fonds publics, a détruit le système de santé, qui n’a plus de moyens et qui a l’ordre de laisser mourir des gens devant la porte de l’hôpital s’ils n’ont pas réglé au préalable les frais de consultation et de traitement
Progressivement IOG et son égérie la fameuse Reine Paulette de Pacotille, s’ approprient en toute illégalité des terrains et habitations des Afar à Arrhiba, des logements militaires. Ils revendent ces biens immobiliers à des investisseurs étrangers.. dont des islamistes somaliens, ce que la France aurait refusé de cautionner récemment , mais uniquement, pour la sécurité de ses installations militaires …