07/03/10 (B541) Désormais il faut déposer des plaintes contre IOG pour les multiples crimes commis mais encore impunis. Commençons par une plainte urgente et fondée pour séquestration de mineur … (Lecteur, chef coutumier Issa)

Je propose de créer un forum sur la libre expression relatif à la série de crimes commis par/et sous IOG !

Plainte n°1 :
Pour séquestration et détournement d’un adolescent, en la personne de l’OUGAS des ISSAS tant attendu par notre communauté,

Destinataires :
les Juridictions internationales compétentes.

Plaignant et partie civile :

Un viel Issa, chef coutumier et sympathisant de la LDDH.

Contre :
le dictateur sanguinaire Ismaël OMAR GUELLEH

Exposé des faits et des motifs de la plainte :
– dans un contexte de Voyouterie de la politique régionale de l’Igad,

dans un contexte où les mascarades électorales se multiplient dans notre sous-région, en particulier à Djibouti, au Somaliland et en Ethiopie. A noter que ces mascarades électorales sont cautionnées par les Forces prépositionnées en République de Djibouti.
– Provocations et intimidations lors l’Intronisation à Zeila (35 km de Djibouti ville) de notre élu, l’Ougass des Issas.

Après un long périple, des provocateurs, sans aucun doute commandités par le candidat à un 3ème mandat anticonstitutionnel ont bafoué, souillé l’intronisation de notre jeune Ougass. Au motif d’assurer sa sécurité ensuite, il a été kidnappé à Zeila et conduit sous haute protection à Djibouti. Le commandant des opérations était le Général Zakaria, qui n’aurait agi selon ses déclarations que dans l’unique but de protéger la personne royale, des pillages et des affrontements suivis de tirs en l’air mais à balles réelles.

Actuellement, notre jeune Ougas n’a pas terminé les déplacements qu’il doit effectuer tout d’abord vers Bulaxar non loin du cimetière de SHEICK ISSA l’ancêtre des Issas ;

Puis il doit encore suivre sa longue formation sur le droit coutumier spécifique aux Issa ;

Rappelons qu’il n’a pas encore commencé ses épreuves de purification intérieure et spirituelle ;

Selon la tradition, le jeune Ougas devrait durant dix mois au moins, se déplacer en faisant « du porte à porte » jusque dans les coins les plus reculés, loin des villes polluées par la corruption, les vols et les crimes, polluées et spoliées par le politique ;

Or que constate-t-on aujourd’hui ?

Que le jeune Ougas a été kidnappé et conduit à Djibouti. Qu’il est assigné à résidence en compagnie de neuf vieux dans l’ancienne résidence de Barkat Gourad. La villa de l’ancien Premier ministre est actuellement séquestrée et encerclée par un détachement visible de la Garde républicaine.

Je tiens à rappeler que la Villa de Barkat Gourad avait été mise à disposition du Président somalien, proclamé par la volonté d’Oould, missionné par le Conseil de Sécurité de New-York.

Les autres accompagnateurs de notre Roi ont été dispersés dans trois hôtels dont Dar El Salam qui appartient à un député.

Ceux qui sont hébergés à Assamo, propriété du vieux député Djama Djilal de l’époque de Barkat Gourad ont commencé une grève de la faim car ils refusent de manger les repas des Impies.

La situation est grave et tout un chacun se demande où veut en venir le sanguinaire IOG ?

Après avoir semé la guerre entre les Islamistes somalis, IOG a-t-il pour projet de semer la guerre entre les frères issas d’Ethiopie et de Djibouti ?

L’avenir le dira !

Par ces motifs

Les vieux de la Communauté des Issas de Djibouti :

– dénoncent les tentatives des spoliations et des détournements du Jeune Ougas récemment intronisé, ainsi que de la séquestration abusive et intolérable de plusieurs vieux qui accompagnent et encadrent le jeune Ougas ;

– exigent leur libération immédiate et sans condition, (Du jeune Ougass et des vieux qui l’entourent) ,

– demandent que des poursuites soient lancées contre l’Impie, qui a juré en tant que Chef de l’Etat de la République de Djibouti, sur le Saint Coran :

  • de respecter la Constitution Djiboutienne,
  • à respecter sans interférence aucune à la liberté d’expression, à la liberté de circulation (liberté d’aller et de venir pour toute personne vivant en République de Djibouti), à la Liberté de manifester, à la liberté des religions, des cultures, de l’Histoire et du Respect des Traditions ancestrales etc, etc