05/09/10 (B568) Vérité : L’IMAGE MENACEE DE DJIBOUTI

A Djibouti, la situation est si grave qu’il n’y plus de vie normale : le clan au pouvoir multiplie les crimes qu’il commet contre des indivuds et contre des populations : crimes contre l’humanité ?

La ville de Djibouti est en proie à l’insécurité. Règlements de comptes, éliminations physiques de responsables de la force publique, certains étant reconnus (pas tous !) comme des honnêtes gens. Le seul motif de ces exterminations : détenir des renseignements compromettants sur des crimes et délis commis sous les yeux de l’appareil militaro-judiciaire dirigé exclusivement par le Grand Patron de l’organisation : IOG, le fils de l’Oued.

La vie des citoyens est menacée chaque jour. La justice est placée sous la tutelle directe du clan. Plus rien ne fonctionne dans cette République en uniforme dont leur chef suprême refuse de voir la réalité et d’écouter le peuple.

IOG qui porte la marque du diable dans son sang. Il craint par dessus-tou que les citoyens puissent vivre en harmonie au sein d’un communauté mulit-ethnique. il craint aussi que les jeunes du pays ne puissent s’épanouir en vivant heureux sur la terre de leurs ancêtres et assumant les dépenses familiales avec un salaire.

Le clan au pouvoir et leur chef IOG n’aimenet pas entendre les mots suivants :

– revendication
– manifestation
– une justice imapartiale et indépendante,
– la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat,
– le respect des droits des citoyens
– l’égalité de travail, de chance,
– la compétence
– les libertés individuelles : s’exprimer, posséder,
– Les droits des syndicats
– Les doléances du peuple
– Les droits des partis d’opposition
– Les journaux des partis
– L’éducation pour tous
– Un toit pour chaque famille
– La santé pour tous
– Une meilleure vie pour tous
– Le respect de chacun
– La reconnaissances des vrais Djiboutiens nés dans le pays

C’est avec ces mots que la démocratie s’envole. La vérité est celle-là. Le régime dictatorial ne veut pas céder un pouce de terrain et il refuse totalement que le pays ruiné par ses méthodes, échappe à l’emprise du clan.

La criminalité est organisée. Elle est coordonnée par les membres du clan qui s’appuient illégalement sur la force publique pour parvenir à leurs objectifs : asservir le peuple et s’enrichir de façon éhontée.

Des casernes entières sont dans le collimateur du clan. Des familles entières ont été déplacées vers le pk 20. Les femmes et ,les enfants sont rejetées loin de la ville, sur des zones où il n’y a ni eau, ni électricité.Parmi les premières victimes, ce sont les familles des soldats et des policiers qui ont servi le pays. Voilà la récompense qui leur est réservée par IOG.

La QABYO a une mission exclusive . mettre en vente les terrains vidés par le crime : incendie, et ceux des casernes vidées par la force. Des riches arabes qui ont donné la part du lion à la dame de fer, pour y devenir propriétaires.

Chers frères leaders de l’opposition ! La peur ruine le pays et rend malade la population. Votre silence perdure et aggrave la situation de nos compatriotes. Plus vous vous taisez, plus le régime se considére en position de force et multiplie les provocations.

Chers leaders ! C ‘est le moment de bouger et de vous faire entendre. Organisez-vous ! Multipliez les meetings, les manifestations, marchez devant dans la rue pour dénoncer la mauvaise gestion, l’insécurité, l’injustice : le peuple vous suivra.

Bénéficiant de cette mauvaise politique, des mensonges, des campagnes de propagande, pour soutenir le dictateur, le clan et les mafias, les proches vident la richesse du pays, pendant que les citoyens succombent dans la misère totale .

Sans votre action immédiate pour retrouver tous ensemble, unis, notre liberté, l’existence du peuple et les jeunes générations sont en grand danger.

Chers citoyens ! R éveillez-vous, vous devez avoir encore l’énergie nécessaire pour sauver le pays et pour regagner vos libertés. Refusez avec fermeté, le système du chamelier, car vous avez déjà assisté à tout son cinéma et aux mensonges qu’il vous sert depuis des années, en particulier en période pré-électorale. C’est fini le théâtre du clan !

Voyez ces crocodiles, ces caïmans, ces loups, ces warabeys, ces membres du clan, ils se comportent comme le fils du rail. Ils le servent avec docilité pour mieux détourner les biens du peuple.

Lorsqu’un petit pays moins de 500.000 habitants vit sous la terreur, sous la violence quotidienne, dans l’injustice, et surtout avec la famine, la pauvreté, la maladie, que peut-il espérer s’il permet par son inaction, la reconduite des mêmes prédateurs ?.

Chers peuple seul le changement est la véritable source d’espoir et d’espérance. Il doit exister pour sauver l’identité nationale et la vie des générations futures.

Le torchon brûle à Haramous. Le pays n’a pas un bon chef. Ce chef agite souvent le chiffon taché de sang et raconte souvent au sein du clan que s’il perd le trône, les « obligés perdront également leurs biens et leurs richesses mal acquises car le bateau chavirera pour de bon.

Chers leaders, vous êtes dans le pays ! Vous connaissez parfaitement la situation, soyez décidés, les faits sont devant vous, le pays est chaotique et la population à l’agonie.

Il faut agir et démontrer que vous n’êtes pas muets. Mettez-vous à la tête du cortège pour atteindre l’objectif.

Permettez-moi de vous dire la vérité : le régime n’a jamais été à un aussi bas niveau : politiquement et socialement. Le fruit est mûr ! Faisons-le tomber tous ensemble.