15/11/2016 (Brève 862) VERITE / Portrait d’un spécialiste en torture : le P’tit ZAK. Ex Officier de la Gendarmerie mis à l’écart récemment par IOG (Cf LOI) (Portrait publié sous la responsabilité de son auteur)
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VERITE : PORTRAIT DUN HOMME SANS CULTURE NI PITIE : Un Ancien Officier de la Gendarmerie nationale.
Le petit Zak est né à Djibouti et il a grandi ensuite à ARTA, fils dun ex- gendarme Afar et dune mère Isaak.
Cest à Arta quil a commencé à mendier des Bakchichs aux soldats du régiment de la Légion étrangère stationnés sur place. Dès le plus jeune âge, il a effectué de sales besognes ; par exemple il conduisait les soldats chez les femmes du quartier spécialisé, où se côtoyaient les drogués, les ivrognes et les proxénètes. Cest dans ce milieu malsain quil a fait ses premiers pas,
Durant son enfance il a fréquenté les bordels et il buvait de la bière à outrance, il a même entraîné dautre enfants en faisant consommer du vin rouge sans modération ce qui a causé plusieurs transferts au dispensaire dArta doù linfirmier Ali Darar leur a donné les premiers soins.
Ses parents ayant divorcé, sa mère quitta Arta avec lui pour la ville de Djibouti. Sans moyen pour lélever, il a été placé dans le cercle fermé et insociable où se fréquentaient des gens mal intentionnés. Le petit Zak tomba malade et cest alors quil perdit tous ses cheveux. Déjà, il avait des difficultés à communiquer et ses comportements souvent bizarres lont mis à lécart de la société.
Il détestait jouer avec les autres enfants du quartier et de lécole, car il avait un handicap et il préférait rester souvent seul dans un chambre isolé, pendant que sa mère vendait les fameux Kamire (gâteaux), les bonbons, les mougalgales dans le Souk du quartier afin dassurer la survie du petit. Sa famille navait pas les moyens de lui donner des soins ou de le faire examiner par un médecin.
Le petit Zak, un enfant têtu, refusa de saméliorer en aidant, par exemple, sa pauvre mère qui souffrait aussi. Cest pourtant grâce à elle quil a été élevé. Mais cette pauvre mère ne se serait jamais douté, quune fois parvenu à lâge adulte, ce garçon « difficile » détruirait,
et massacrerait des membres de sa tribu les Afar, des innocents, des citoyens djiboutiens : quil pourrait être qualifié par certains dogre, daigri, de mercenaire ou de criminel patenté.
Devenu quand même Instituteur à lécole de La Salle, il devait y enseigner dans des classes de CP, mais il avait une grande difficulté pour dispenser les cours car il nétait pas apte à assumer le travail qui lui avait été confié, cest-à-dire de transmettre une connaissance à des enfants. Cest une grande responsabilité qui demande vigilance et compétence et notre petit Zak toujours arrogant et agressif, se refusait à préparer les élèves pour les conduire à lobjectif. Un maitre de lécole ne doit-il pas être une personne humaine, juste, patiente, qui aime aider ses élèves à résoudre les problèmes avec beaucoup damour pour les autres.
– La paranoïa dans son rôle d’instituteur ?
Le petit Zak est lhomme qui a fait renvoyer de lécole deux élèves issus dun milieu très modeste avec des parents nayant pas les moyens de payer la cotisation de lécole. Pour convaincre le Directeur il a rédigé une lettre pleine de mensonges qui a détruit ces enfants innocents. Comme il ne supportait pas les grincements des chaises et des tables au sein de la classe, il mettait régulièrement 2 à 3 élèves à la porte par jour sans en référer au Directeur. Avait-il un problème de trouble mental qui laurait rendu agressif et qui lui aurait fait perdre le contrôle de lui-même ? Est-ce lexplication de son comportement agressif et injuste envers les enfants de la classe à qui il infligeait tant de punitions ?.
Ses collègues le détestaient. Suite à de nombreuses plaintes déposées par les parents des élèves, le responsable de létablissement a adressé plusieurs blâmes au Ptit Zak : retards répétés, mise à la porte des élèves sans motif réel et mauvais traitement, mauvais comportement envers ses collègues, non présentation du livret pédagogique …
Le petit Zak, cette personne de petite taille, sévertuait dans sa jeunesse à courtiser les jeunes filles. Mais il navait ni la finesse ni la maitrise du vocabulaire pour draguer et convaincre une brebis au couleur du miel. Il narrivait pas à parler clairement et bien souvent il bégayait quand il ne parvenait plus à maitriser plus la colère interne qui le rongeait.
Certaines filles racontaient souvent, quil était parcimonieux, avec une moralité douteuse car il nétait pas un homme à qui lon pouvait se confier. De plus, il shabillait mal et il marchait comme un individu sans ardeur ni dénergie.
Coquin, il était une personne mesquine usant des balivernes pour tromper les jeunes filles. Faquin et handicapé, il navait trouvé la méthode pour convaincre les belles filles de la capitale.
– Une incorporation difficile au sein de la Gendarmerie
En 1989, suite à la recommandation de lun de ses proches, bien que sans diplôme, il a été intégré au sein dun corps noble mais où, à lépoque on enregistrait les mauvais comportements, les dérives, les horribles tortures dans ses locaux. La mainmise du clan sur ce service était déjà visible et bien connue du peuple : beaucoup de citoyens gardent toujours des séquelles physiques et combien dautres y ont perdu la vie.
Aspirant mais sans formation, il trainait dans les couloirs et accomplissait le rôle dofficier de service car il navait aucune notion sur la façon de conduire des enquêtes, des recherches. Après deux années de routine sans bureau fixe (car il était détesté par le fameux Mahdi Cheik (retraite)), suite à plusieurs appels dHaramouss, il na plus été le bienvenu dans le corps.
– La promotion avec le parrainage de Paulette
Mais cest là que Paulette intervint en faisant transmettre au bureau du colonel Mahdi la nouvelle affectation du petit Zak, en qualité dadjoint du Cdt de la compagnie de Djibouti sous les ordres du Lt Fod un homme juste et honnête qui est actuellement en retraite.
Toujours sous linfluence de la Qabyo qui recrute tous les pervers qui pourraient assumer dobscures besognes et appliquer ses méthodes, sans état dâme, pour liquider, détruire les citoyens et les leaders qui refusent les systèmes du clan. A-t-elle trouvé dans la personnalité dépravée du Ptit Zak un futur obligé personnel capable dagir sans état dâme et sans pitié pour obtenir le pouvoir.
Voici comment le petit Zak, sur ordre de la Qabyo, a été promu Cdt de la compagnie de Djibouti. Est-ce ce qui marque le début de sa carrière et sa dangerosité ? Seraient ses nombreuses fréquentations à la cour du clan où il avait les mains libres pour exécuter les ordres dHaramouss ?
Ensuite il a commencé à utiliser des moyens violents et barbares, lors des enquêtes envers les membres du FRUD ; il a détruit des citoyens, des paysans, des personnes âgées dorigine AFAR arrêtées au nord du pays. Son seul objectif était de sapprocher davantage du clan qui dirige le pays, en se rendant indispensable. Cest lhomme qui aime montrer quil peut massacrer des innocents au nom de La Qabyo.
Sur une simple enquête concernant des étudiants en grèves ou des étudiants au chômage qui revendiquaient leur droit à la recherche dun travail, ce criminel a utilisé des moyens odieux pour les détruire au nom de de leur appartenance ethnique, durant des interrogatoires musclés conduits dans les brigades.
Lors des enquêtes ordonnées par le clan lui demandant des résultats rapides contre une ethnie et/ou des leaders de lopposition, cest toujours le petit, le « nain » qui utilisait la force, la roulotte ou le supplice de leau, jusquà obtenir des faux aveux pour satisfaire le clan au pouvoir.
Bien que nayant pas suivi la moindre formation sérieuse ni dans le pays ni à létranger, le clan la promu à la tête dun corps de sécurité, uniquement en remerciement des actes criminels quil avait commis. On dit même que cest lhomme qui a contribué activement à la mort du colonel Abdi Bogoreh.
Le petit Zak aurait-il contribué à déboulonner son colonel, qui était son chef et un homme sage, honnête et expérimenté et qui navait aucun ennemi au sein du pays. Contrairement à lui, le nain a commis des actes graves : par exemple, il avait posé des micros dans le bureau et dans le véhicule de son chef pour enregistrer ses communications. Il compilait les informations et les renseignements avant de les transmettre à létage supérieur et obtenir à tout prix la promotion dont il rêvait.
Certains affirment même, mais ce n’est pas vérifié, que cest larme à la main, en présence dautres mercenaires, quil aurait pu avoir achevé froidement son chef le prestigieux, le bijou rare Abdi Bogoreh, (vous connaissez lhistoire)
Aussitôt après sa mort commanditée par le clan, au détriment des officiers plus formés et plus expérimentés que lui, le petit Zak a obtenu le poste de chef de la gendarmerie.
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Le petit Zak était le responsable des enquêtes politique louches ordonnées par la famille du clan.
– pour écarter les leaders dopposition sur la scène politique
– pour incarcérer tous ceux qui pensent autrement du clan
– pour détruire les citoyens, les cadres, les intellectuelles
– pour mettre a genoux les hommes honnêtes
– pour contenir la population dans la pauvreté
– pour essayer dacheter des membres dopposition
Ces tactiques musclés ne sont autre, la brutalité, lagressivité, la violence, traiter sauvagement lêtre humain, pousser linnocent davouez des mensonges.
Les méthodes illégales utilisées par le tortionnaire malade et paranoïa envers les citoyens sont les suivants.
– il déshabille, il torture, il menotte, il bande les yeux, il pise sur le victime, il donne des coups, il blesse gravement, il matraque, il refuse de donner a boire et a manger, il garde dans la geôle sans soin et voila certains meurs incognito.
Dans son palmarès, il a tué, agressé, traité très mal, violenté physiquement à des hommes honnêtes qui refusaient les systèmes du fils de loued,
– Y Y GALAB
– JEAN-PAUL NOEL
– ABDI BOGOREH
– ABDI HOUSSEIN
– AFFAIRE BOREL ( UN MAGISTRAT FRANÇAIS)
– ANFARE EBO
– HASSAN CHEIKO
– ALI DAHER
– IDLEH FARAH
– OSMAN ALI
– HAMED EBO
– BOURHAN CHEIK
– SAID ALI
– SAMAD RAGUEH
– LES MENBRES DE FRUD
– LES CIVILS AFARS RESIDANT DANS LE NORD
– LES LEADERS ET SES MEMBRES de lUSN
– LES PROFS, LES ENSEIGNANTS, LES CADRES NON CLAN
– LES CITOYENS MODESTES
– LES RETRAITEES QUI REVENDIQUE LEUR DROIT
– LES CLANS ODAHGOBS, LES FOURLABAS, LES AFARS
– LES MILITAIRES ODAHGOB
– LES CITOYENS ISSU DU CLAN ISSA
– LES MOBILISES ISSA
– LES HOMMES DES ONG DE DROIT DE LHOMME
– LES JOURNALISTES, LES SYNDICALISTES
La souffrance et la mort de certains citoyens causé par le soin du nain sont revenue perturber sa famille et lui a déjà donné une santé précaire. Cet officier sans expérience ni compétence, peu présentable au milieu des hommes en uniforme reçoit directement les ordres a Haramous.
Cest lhomme qui a recruté en masse des somalilandais au sein de la gendarmerie sans pièces identités ni critère, le corps noble de la gendarmerie est devenue une passoir, un centre pour former des milices étrangers dont leur futur mission serait de terroriser les citoyens, le recrutement de la population volante et étrangère sont les méthodes du régime et du clan en particulier pour détruire et éliminer lavenir des jeunes sans emploi ; leur mission est : – mise a la retraite massive pour reclasser les étrangers
– terroriser les opposants et les quartiers
– détruire les jeunes membres dUSN
– éliminer les jeunes gendarmes issus dautre ethnie
– révoquer les anciens gendarmes
– détruire le corps de la gendarmerie
– affecter les milices aux cercles pour terroriser la population Afars, les Assajoks, les Dhikilois
– massacrer les Afars vivants dans la pauvreté et loin de la métropole.
Ce petit Zak est un tortionnaire endurci et hostile, toujours hanté par les démons qui lui ronge depuis sa jeunesse, il devient aigri. Cest le filou qui a créer au sein du SRG une salle de torture équipé des matériels sophistiqués avec des cameras cachés a lappui, pour permettre le tyran et sa famille de pacotille de suivre a distance, la souffrance, lhumiliation, la torture et ses différents procédés, contre des innocents, des leaders, des cadres, des étudiants, des militaires, des policiers, des citoyens sans défense, voila le méthode du dictateur chevronné.
Les images sanglantes prisent lors des interrogations musclés envers des leaders dopposition, les hommes des droits humains, les Afars, les citoyens sans défense sont choquants et ont laissés des traces et traumatismes aux proches et familles des victimes.
Les enfants dont leur parent ont disparu et les autres que leur proche porte les séquelles croisent souvent le petit Zak dans la rue, mais ils attendent impatiemment le jugement du criminel patenté.
Le petit Zak est malade, arrogant, agressif, il est toujours sur ses gardes, il na pas dami, il vit dans un cercle fermé, sa maison est blindé, il se méfie même aux gendarmes, chez lui il a des civils Argos, des étrangers Ethiopiens armés jusquau dent qui assurent sa protection, mais étant en paranoïa avancé et surtout le mal qui ronge, il se réveille maintes fois pendant la nuit pour sassurer quil est en vie.
Le nain de Djibouti a la santé précaire avec plusieurs maladies dans son carnet de soin.
– trouble de conscience (les mains dans le sang)
– trouble de vue
– chute des cheveux (il porte souvent une perruque)
– trouble de sommeil (il a commis des actes graves)
– trouble mental (pendant lété, trop de repos malade)
– trouble en cholestérol (agressivité, instable, perversité)
Le petit nain nommé sans mérite ni compétence aux cancres de la gendarmerie qui exécutent avec zèle les mauvaises consignes et instruction verbale pour détruire le peuple, il donne les promotions de chef de brigade au critère voulu par le clan.
Ils sont compose comme suit :
– brigade nord ( issack)
– brigade 3/4/5 ( afar )
– brigade 6/7 ( issack
– brigade ambouli ( gadabourci)
– brigade engeila ( darod)
– brigade cheik moussa ( issack)
– brigade pk 12 ( issack)
Cercles :
– Tadjourah ( issack)
– Obock ( issack)
– A/sabieh (gadabourci)
– Dhikil ( afar)
Il donne tous les chefs de brigade les consignes sévères, à étouffer, dincarcérer, de présenter le jour même devant le tribunal aux membres dUSN, LES LEADERS DOPPOSITION, les Afars arrêtés sans motif, de fouiller les maisons appartenant des gens honnêtes,
Brutaliser les jeunes habitants dans les quartiers, placer en dépôt les détenus sans lavis dun juge.
Voici léquipe criminelle et collaborateurs désignés par le petit Zak qui emploi la force pour terroriser le peuple dont leur mission est vaste :
– assaut pendant la nuit aux domiciles des leaders dopposition
– humilier les responsables dUSN en pleine nuit devant femmes et enfants
– massacrer les hommes Afars devant femmes et enfants
– tirer a balle réelle sur des personnes âgés Afars résidant au nord du pays
– assassinats ciblés
– torturer des innocents Afars dans les salles aménagés au sein des camps de larmée au nord
– destruction des troupeaux, des puits, des toukoules appartenant au population Afar au nord
– ratissage dans le secteur éloigné de la ville pour effectuer des arrestations avec violence, et placer dans les casernes pour torturer les jeunes.
– Viols des innocentes, des gardeuses des chèvres
– Intimidation des commerçants des cercles
– Elimination physiques des personnes désigner par le clan
– O.D.A. (Opération Destruction Afars)
– Collecter des largent sales aux commerçants de la place
– Arrestations et emprisonnements des jeunes Assajock qui refusent les systèmes du clan.
– Sales opérations dans les quartiers de la capitale et balballa, pour étouffer les citoyens.
Alors, voici les acters de la salle besogne :
– cdt hebano (retraite)
– cdt ali hode ( gabode)
– cne abdi daher
– cne hassan ahmed
– cne mohamed issack
– cne dini
– cne abdulkarim
– lt ahmed omar guedi
– lt anoo
tous les chefs de brigade qui travaillent pour le clan
Ces cancres sans formation et promus au choix sont des éléments dangereux et ils ont commis des actes graves et ciblés envers des citoyens modestes, les leaders, les cadres, les membres de lopposition, la population Afar.
– Richesse et détournement des fonds :
Le petit Zak a dilapidé les fonds destines au fonctionnement du service, il a raquette les commerçants Arabes de la place a des sommes importantes a des fins personnel.
Avec largent sale, il a construit au gabode 2 grandes bâtiments neuves, sans compter ;
– Largent des drogues qui transite dans la plaque tournante (Djibouti vers lEurope).
– Les vols divoire et des diamants en provenance les pays voisins.
– Largent des objets trouvees de valeur doù leur propriétaire était refoulé, (les nagadees dorigine ETHIOPIEN ET ERRITREAN.
– Les vols des biens publics, des terrains, des matérielles de construction, des voiture au sein du Port de Djibouti.
– Vols des camions remplis des marchandises de valeur destinée en Ethiopie
– Vols des conteneurs remplis des objets de valeur appartenant à des citoyens commerçants.
– Détournement les frais des uniformes des gendarmes.
– Vente, et trafique des armes en somali, et somaliland.
– Responsable le recrutement en masse des milices étrangères avec lagent du contribuable.
En plus, avec la recommandation de sa seconde maman, la dame de fer auprès des riches Arabes de la place, il collecte de largent facile et sale sans ménager deffort. Déception et échec dans sa carrière, il devient souvent aigri et parle avec brutalité envers ses subordonnés.
Souvent en pantomime bouffonné, sa morphologie, sa conduite, son style, sa manière dhabiller lui rend inferieur et ses ordres ne sont ni mesuré ni définie par le règlement qui régie le cops.
Outre les crimes ciblés et la violence quotidienne envers le peuple, le nain, le court, le chétive, rien que sa forme lui donne une infériorité personnelle qui réduit son commandement et son bien être.
Devant les hommes en tenue, il est complexé, il se remue mainte fois, se positionne, se hisse, se cherche et se montre quil est un chef, il confectionne des belles tenues, mais lhabit ne fait pas le moine car le nain reste toujours le nain abrouti.
Dans un pays libre, lOfficier ou le responsable de la force publique, juste, honnête et compétent est toujours apprécier et connu par le peuple quil serve et le personnel quil commande.
Leur qualification dêtre un bon leader sans reproche, loyale, impliquer, une aisance respectable est une forme de considération au sein du pays
A nos jours, il existe certains officiers laquais, inhumain, sans formation adéquate, tous promu au choix qui ne pourrait commander une brigade ou dassumer leur mission avec compétence. Perdu du sens et de bonne réflexion, leur rôle essentielle est devenue de commettre des actes graves, des massacres, des assassinant, des tueries en masse, de détruire la population résidant au nord, les citoyens Djiboutien au sein de leur pays, pour seule motif :
– de sapprocher le clan
– dobtenir des promotions sans mérite
– de senrichir facilement
– de profiter de voler les biens du peuple
– de construire des bâtiments avec largent sale
Tous ceux qui ont participé activement en donnant des ordres, des instructions, des consignes et ceux qui ont agi en employant la force lors des enquêtes, des interrogatoires musclés, des arrestations agressifs, des tortures inhumains, des conduites dans les geôles sans motif, la destruction de la population Afar, lhumiliation, la violence, des tirs a balle réelle contre les leaders dUSN, assassinats ciblés, incarcérer des innocents sans mandat au sinistre prison Gabode.
Jusqu’à nos jours( 2016) les nomades, les éleveurs, les personnes âgés, les jeunes Afars vivant au nord, sont tous torturés par des gendarmes sélectionnés par le petit ZAK.
Mais les morts dans la conscience, ils seront jugés par groupe devant un jury composé les familles et proches des victimes, en plus ils sont fichés et inscrits avec photos a lappui dans les bureaux de lImmigration a lEtranger et le Court Pénal Internationale.
VOICI LIMAGE TACHEE DE SANG DU PETIT ZAK, A-T-IL TUE POUR DANSER DANS LA COUR DU CLAN, MAIS LA VIE EST COURTE ET IL POURRAIT AVOIR DES COMPTES A RENDRE AU PEUPLE ET A SES VICTIME DANS UN AVENIR PROCHE.