05/08/2013 (Brève 155)  A l’approche de la fin du Ramadan, l’équipe de l’ARDHD adresse tous ses voeux de bonne fête à tous les musulmans et en particulier aux Djiboutiennes et aux Djiboutiens, en particulier à toutes celles et tous ceux qui souffrent du régime autoritaire de Guelleh.

A la veille de la fin du Ramadan, l’équipe de l’ARDHD souhaite une bonne fête à tous les musulmans. Elle a une pensée toute particulière pour tous les Djiboutiens qui souffrent sous le régime autoritaire de Guelleh et plus spécialement pour toutes celles et tous ceux qui attendent, dans la misére à Addis Abeba, des propositions de réinstallation qui ne viennent toujours pas.

Honte à Guelleh et à sa cour d’obligés qui ont asphyxié l’économie du pays pour s’enrichir, qui ont asservi la population, qui répriment dans l’arbitraire et l’injustice, tous les contestaires, en les torturant et en les emprisonnant.

Au hasard de nos recherches sur Internet, nous avons sélectionné un extrait du Coran. Allah dit {À ceux qui amassent l’or et l’argent et ne les dépensent pas dans les sentiers d’Allah, annonce-leur un châtiment douloureux.} (Sourate 9 : Verset 34). Guelleh et son équipe de prédateurs ne semblent pas avoir encore pris conscience du fait qu’ils devront comparaître le jour venu devant la justice divine et que leurs richesses, accumulées inutilement au détriment de la population qu’ils étaient censé guider vers un avenir meilleur, ne leur seront d’aucun secours.

On ne peut pas effacer, aux yeux de la justice divine, les crimes commis, mais la rédemption est prise en compte. M. Guelleh, le moment n’est-il pas venu de changer ? De demander pardon aux Djiboutiens pour tout le mal que vous leur avez fait ? De stopper ce régime en redonnant le pouvoir au peuple et en l’aidant à remettre le pays dans la voie de la justice, de l’équité. De favoriser la renaissance des services de santé et d’éducation et la création d’emplois ?

Il n’est jamais trop tard pour reconnaître ses erreurs et ses crimes. Alors qu’attendez-vous ?