20/06/07 (B400 B) Radio-Trottoir : Il y a quelque chose qui n’a pasz bon goût dans la sauce du Parquet Djiboutien. Christian Georges, un citoyen français, abandonné par son pays, croupit comme un malheureux, sous des accusations qui semblent avoir été montés de toutes pièces. Aurait-il dévoilé le secret de l’Affaire Borrel ????

La parole est à
la Défense de Christian Georges qui risque d’être condamné
à perpétuétité, les faux témoignages
du quartier II battent leur plein ; il suffit d’être mineur et surtout
avoir plus de 31 ans .

La notion de pédophilie
à Djibouti n’a pas d’âge, une refonte du Code Pénal
et celui du Code de Procédure pénale peaufinés par
le regretté Bernard Borrel doit être modifié pour
permettre à IOG de porter plainte à la Haye pour tous les
touristes des villas récentes construites à LA PLAGE d’Haramous
qui seraient tentés de parler en publique de l’Affaire Borrel.

TOUT comme
Christian Georges.

Cette fois c’est clair
: l’affaire Borrel d’après le Procureur Général Djiboutien
« terrorise IOG ».

Heureusement, la Veuve
du Juge Borrel assassiné et ses enfants ne sont pas à Djibouti.

Alors
voyons MM Maki et Djama : ce n’est pas sérieux, c’est pas du tout musulman.

La sauce made in par le Parquet Djiboutien a un goût très bizarre,
plutôt amer pour Christian Georges qui croupit et risque de croupir
encore longtemps avant que la Cour Criminelle ne se réunit.

Ces derniers temps le pauvre Christian est enfermé dans la pire des
cellules de la fameuse prison de Gabode par une température ambiante
torride de 45 ° Celsius, coupé du monde, comme à Guatalamo,
sans médecin privé, sans avocat apparent – l’ami d’Ismaël
Omar Guelleh, Maître Martinet devrait saisir cette occasion d’autant
plus que le Procureur Général le « grand » Djama
va le poursuivre pour l’avoir mis en cause dans la presse française
pour l’affaire Borrel, sinon ses meubles de bâtonnier risque de voler
aux éclats, – affaire à suivre avec des gants -.

Bref Christian Georges est livré à lui-même, isolé
pour l’éternité du moins tant que l’Idil Amin Dada de Djibouti
régnera par la force et la terreur.

Le premier motif d’incarcération de Christian G. était «
l’espionnage » et inscrit dans la main courante de la prison de Gabode.

Touchons du bois, car les disparitions d’une main courante est chose bénigne
dès qu’il s’agit d’une « raison du Chef de l’Etat » et
non pour des raisons d’Etat comme en France.

Au fait il faudrait inviter (à voyager) le Colonel Mahdi ex-Chef d’Etat-Major
de la Gendarmerie Djiboutienne.

En effet, et pendant qu’il est temps, maintenant qu’il n’est qu’un simple
Conseiller du Ministre de la Défense l’ex-sergent Ougoureh, le courageux
Mahdi pourra être invité, d’ailleurs il n’a rien à perdre,
pour qu’il puisse indiquer où il a bien pu cacher, sur ordre du patron
de l’époque de la Sécurité extérieure et intérieure
le gros ventru IOG, la main courante du PK 51 sur la route du Goubet au lendemain
du soir de l’assassinat du Juge Borrel.

Dans l’affaire de l’arrestation de Christian G. la sauce du duo Maki et Djama
respectivement Procureur Commerçant – pardon de la République
– et Procureur Politique – encore pardon, Général – est vraiment
« Xarane », pas du tout musulmane.

Evidemment une chose est dans la chose de la sauce.

D’ores et déjà on peut constater sue :

1. le motif d’inculpation s’est maguiquement muté ;

2. le premier emprisonnement avant la liberté provisoire était
pour « espionnage » ;

3. après sa réincarcération suite à une tentative
de fuite et son extradition du Yémen avec certainement l’aval du Quai
d’Orsay, il a été à nouveau inculpé sous un autre
motif, à savoir pour « pédophilie » ;

4. du coup l’affaire est transférée à la Cour criminelle
et le Procureur Maki s’est dépêché de transmettre ce dossier
qui sent l’affaire Borrel au spécialiste de l’assassinat maquillé
en suicide par immolation d’un juge fouineur qui s’est intéressé
un peu trop au blanchiment d’argent de l’extrême Orient via des pays
voisin de la Réunion et transitant pour « l’ancienne métropole
» par Djibouti.

5. Reste à savoir si l’approche des vacances judiciaires l’affaire
Christian Georges ne sera pas oubliée par la diplomatie française
qui l’avait sacrifié avant les élections présidentielles
en France.

Un
gardien de prison écoeuré