26/01/ (LIB 001)L’armée française aurait libéré un terrain derrière l’aéroport pour permettre l’entraînement de la nouvelle garde prétorienne de Guelleh. L’ingratitude chronique du peuple djiboutien envers son guide !

Nous avons toutes
les raisons d’affirmer que ces militaires, triés sur le volet, qui
vont constituer la nouvelle garde ‘très’ rapprochée de Guelleh,
suivent un entraînement intensif sous la direction d’officiers experts
délégués spécialement par l’état d’Israël.
L’entraînement physique est certainement adossé à un
entraînement psychologique de première qualité. Imaginez
qu’un jour de crise, certains de ses militaires refusent d’obéir
et préfèrent défendre leurs frères et leurs
soeurs plutôt que les dignitaires dur régime ! Les Israéliens
ont certainement tout prévu dans la formation….

Un
double parrainage international

Cette garde très
spéciale serait donc née, grâce à un double parrainage
international, celui de la France et celui de l’État d’Israël
qui contribuent à sa réussite

Des
missions difficiles devraient être confiées à cette
nouvelle garde

La garde rapprochée
aura pour mission ( n’en doutons-en pas ) de protéger Guelleh, contre
les humeurs imprévisibles d’un peuple ingrat et malintentionné,
incapable de reconnaître ses mérites et de le remercier pour
tout ce qu’il a fait pour le pays.

L’ingratitude
structurelle du peuple djiboutien

Ce peuple a-t-il
vraiment conscience de tout ce que Guelleh a fait pour enrichir la ville
et le patrimoine de la Nation djiboutienne ?

ce peule, a-t-il
déjà réalisé, par exemple, que le château
de Guelleh pourrait devenir dans un avenir très proche, le musée
le plus important de la Corne de l’Afrique. Des centaines de visiteurs étrangers
pourraient s’y bousculer, comme cela se passe à Versailles. Ils contribueraient
à créer un mouvement économique, qui, centralisé
entre les mains du clan Guelleh, permettrait de réaliser de très
beaux achats à l’étranger : armes, mobiliers, toilettes pour
les femmes des dirigeants, qui feraient la fierté des djiboutiens,
etc…

Que les grincheux,
dont les salaires ne sont pas payés depuis plusieurs mois, cessent
de se plaindre. Qu’ils apprennent à apprécier les grands travaux
de Guelleh dans ses châteaux et qu’ils s’en contentent ! La culture
est une forme de nourriture …

Un
déficit de communication ?

C’est consternant,
mais il semble que le peuple djiboutien, ne mesurant pas tous les sacrifices
que M. Guelleh fait pour lui, ne soit pas digne d’un tel guide ! Devrait-on
suggérer à M. Guelleh de communiquer encore davantage sur
ses réalisations et sur ses mérites personnels. Pêche-t-il,
actuellement, par excès de modestie et/ou par déficit de communication
?

Deux
dernières questions

Qu’aurait réalisé
M. Guelleh sans le soutien permanent de ce peuple corvéable à
merci ? Où aurait-il trouvé les sommes immenses qu’il utilise
pour ses plaisirs, pour sa sécurité et pour le solde qu’il
entasse dans des banques étrangères, sinon auprès du
Trésor Public, lui-même alimenté par le travail des
djiboutiens et par les aides étrangères ?

Alors pourquoi aurait-il
peur de ce peuple, au point de constituer une véritable garde rapprochée
et super-entrainée par des officiers israéliens, sur une ex-base
française ?