08/12/09 (B528) Vérité (Lecteur) VERITE : SUR LES PARTIS D’OPPOSITION

Actuellement la situation politique a Djibouti est chaotique et rien ne fonctionne, car le régime veut maintenir la pauvreté au sein de chaque foyer pour mieux faire passer leurs idées et modifier la Constitution.

L’homme fort du régime IOG, c’est une "machine", née dans un pays où les coups les plus tordus et les mensonges sont souvent le quotidien.

Il veut être le 1er Roi de Djibouti. Il se prépare à aller jusqu’au bout pour obtenir un mandat à vie. Il est prêt à écraser, à voler et à utiliser la pire des violences.

IOG est un paranoïaque. Il dort peuet mal, car il a commis des crimes envers le peuple et le pays. Chaque jour, il a une novuelle idée pour mieux restreindre les libertés du peuple.

QUI SONT LES PARTIS D’OPPOSITION ?

L’opposition est divisée :

  1. par les idées que les parties défendent,
  2. par leurs objectifs affichés ou secrets vis à vis de la dictature,
  3. par leur stratégie et leur mode de communication,
  4. par le milieu social dont les dirigeants sont issus,
  5. par les composantes ethniques qui constituent leur zone d’influence.

Les forces dites d’opposition sont reparties dans les catégories suivants :

1- Les militants (tes), la grande masse, pauvre et sans emploi, mais avec un encadrement ils peuvent aller jusqu’au bout pour obtenir le changement.

Ils ont été ruinés avec les temps difficiles et la pauvreté instaurée par IOG et son clan.

2 – Tels Aden Robleh Awalleh et consorts, tous ceux qui ont du céder aux pressions exercées par IOG,

1 – Coupure d’électricité et d’eau
2 – Taxe et patente
3 – Non paiement des factures pour durée de 3 a 4 ans (système du régime/chantage)

A l’approche des élections, le panorama se dessine. Des millions d’argent sale sont distribués à de faux candidats pour qu’ils fassent semblant de s’opposer à IOG.

Et c’est comme cela à la veille de chaque élection.

Personne ne peut échapper aux tentations l’argent sale offert par d’IOG.

3 – L’opposition aisée :

Les ex-cadres, les fonctionnaires, les ex-directeurs, ex-ministres et députés, les officiers supérieurs,.

Ces gens ont de l’argent et de quoi bien vivre, mais ils sont avares et font attention à ce qu’ils dépensent. Leur manière de servir ou d’attirer la masse et de toucher le cœur du peuple n’est pas facile

Les riches opposants doivent être motivés pour aller de l’avant et pour créer des stratégies propres à obtenir un changement urgent et à démontrer au peuple que s’ils agissent la main dans la main, la réussite les récompensera.

4 – Les faux opposants : ils assument un travail au sein de chaque parti, surtout dans les secrétariats, les réunions, les comités de pilotage et la sécurité. Ce sont des agents des grandes oreilles. Ils ont les missions suivantes ;

– Recueille les notes, les informations
– Surveillance sur les lieux des réunions
– Détourner les faibles
– Transmettre des faux renseignements aux leaders des partis
– Véhiculer la propagande dans le secteur
– Rapporter des infos au SDS

5 – les partis a l’extérieur du pays : Ce sont des groupes de luxe. Ils ne savent rien du tout, de ce qui se passe sur notre terre brûlée. Vraiement, ils sont trop éloignés des réalités, de l’actualité et de la vie du pays en général.

Ils ne sont ni unis ni soudés pour mieux intervenir ou pour trouver des idées, construire des stratégies communes, toucher le c œur du peuple, convaincre les institutions Européenne et Internationales en signalant nuit et jour la situation à Djibouti et en dénonçant le dictateur IOG et son clan .

Opposants d’opérette : cessez de raconter vos salades, stoppez vos litiges internes, tout le monde se connaît .

La méfiance est profonde envers les partis d’opposition. Le peuple vous attend de pied ferme et surveillera avec vigilance vos actes. Vous devez avoir des objectifs clairs et précis pour toucher les masses populaires et leur prouver que vous travaillez dur pour réaliser le changement.

Sans le changement urgent, la démocratie, la liberté, la justice et la vie sociale, le pays va basculer dans une guerre civile silencieuse.

Et le responsable est le fils de l’OUED