26/03/11 (B597) Radio-Trottoir : la roue tourne (aussi ?) à l ‘ambassade de Djibouti à Paris. (Lecteur)
Il semblerait que les prérogatives de l’ambassadeur Rachad Farah aient été réduites à « l’inauguration des chrysanthèmes » ! Selon plusieurs témoins, ce n’est plus lui le véritable ambassadeur, celui qui prend les décisions (même les plus modestes).
On a retiré à
Rachad Farah le budget de l’ambassade, (aimait-il trop l’argent ? En aurait-il abusé pour ses besoins personnels ?) En tout cas, la mafia au pouvoir ne lui fait plus confiance pour le contrôle des finances et on lui a retiré toute responsabilité.
Les vrais chefs de l’ambassade seraient Naguib Abdallah Kamil (Fils de Khadra Haid issu d’un premier lit) et son adjoint Mohamed Robleh, l’espion préféré de Kahdra Haid, qui est aussi un agent connu du SDS.
Déosrmais, tout passe par Naguib Abdallah y compris les finances de l’ambassade.
Bien entendu, pour ne pas déroger à la règle « du milieu », l’ambassade de Djibouti à Paris est un haut lieu d’intrigues et de zizanie. Mohamed Robleh e croit tout permis ; il se prend pour le chef et il se permet de donner des ordres à Rachad Farah et de le contredire quand il lui arrive de prendre une décision …
Résultat Rachad se sens frustré : espérons qu’il ne va nous faire un accident lié à une trop forte tension psycho-sociale ? (C’est la mode en France, en ce moment). Les suicides sur les lieux de travail inquiètent beaucoup les autorités … Mais nous n’en sommes pas là !
Grâce au soutien que lui accorde, notre chère Paulette, dont il est le protégé notoire et le fils, Naguib Abdallah Kamil se croit tout permis. (Raconte-t-il à sa gentille et douce maman, tout ce qui se passe à l’ambassade ?) En tout cas, son poste semble avoir été rattaché directement à l’autorité de RPP (Reine Paulette de Pacotille), sans passer par la case SDS ni celle des affaires étrangères
De plus, son adjoint Mohamed Robleh est un vrai tribaliste et il a des côtés racistes, qui sont insupportables pour le personnel.
L’espion officiel de l’ambassade, Mourad Houssein Mouti, a bien compris le déplacement du pouvoir. Il fait maintenant « de la lèche » à Naguib Abdallah et il a cessé d’envoyer ses rapports à son supérieur hiérarchique pourtant officiel Rachad Farah.
D’un côté, il a vite compris que Rachad Farah n’était plus là que pour la façade .. et de l’autre, il a bien trop peur d’être renvoyé à Djibouti … Paris lui plairait-il davantage ?