03/04/11 (B598) Radio Trottoir (Lectrice) 120 jeunes pris en otages par Ali Guelleh Abakari. (Lectrice)
120 jeunes pris en otages par Ali Guelleh Abakari. pour assurer la sécurité de l’auteur des TUERIES A ARHIBA.
Mais qui est ce Ali Guelleh Abakari ?
Ceux qui l’ont bien connu, refusent même de dire son nom et d’évoquer son passé de
traître qu’il avait commencé à exercer au sein du FRUD-armé pendant la guerre de libération de Djibouti, contre
l’Administration postcoloniale de Hassan Gouled et consorts.
Durant cette guerre, par décision du pouvoir dictatorial de l’époque, l’ensemble des forces de sécurité, des forces armées et de l’Administration ont été noyuatées
par des étrangers venus de la Somalie de Lughaya à Gestir et de l’Ethiopie en
particulier d’Adagalleh à Chinileh.
Durant ses activités d’agent éthiopien puis d’agent au service des renseignements
militaires Djiboutiens (SDS incluse), ce traître n’a jamais cessé de poignarder dans
le dos et en silence les vaillants combattants du Frud-armé.
Aujourd’hui, il semble qu’il ait pris pour cible les jeunes chômeurs d’Arhiba pour les poignarder dans le dos, à leur tour.
Son moyen d’intervention : avec les 210 millions de RDj affectés officiellement à un pseudo
projet au PK 20 et (officieusement) pour préparer de futures liquidations, il a recruté 120
jeunes pour qu’ils deviennent des informateurs au sein d’une nouvelle milice mercenaire chargée de mater les prochaines manifestations.
Certaines manifestations pouvant se dérouler à proximité du cimetière d’Arhiba où sont enterrés tous les patriotes Afar qui avaient été massacrés volontairement manifestations lors des
fusillades ciblées contre les populations Afar d’Arhiba début 90 ? Pendant que le candidat usurpateur viendra poser une pierre et féliciter les danseurs appointés qui ne manqueront pas …
Insolence inadmissible et révoltante du commanditaire des tentatives d’extermination des Afars, non seulement à Arhiba mais sur tout le territoire national et souvent en Ethiopie au-delà de notre frontière par des mercenaires Issas à sa solde ?
Quelle insulte à l’égard de la mémoire des victimes du massacre d’Arhiba ? Quel affront intolérable ?
Rappelons que ce traitre n’a jamais demandé officiellement « Pardon » au nom de la
République de Djibouti aux familles et aux proches des victimes des massacres qui resteront gravés dans les mémoires de tous les Djiboutiens.
Le criminel-candidat Ismaël Omar Guelleh osera-t-il poser une pierre lundi prochain 4 avril 2011, puis danser et se remuer le ventre face aux familles et aux proches des victimes des massacres d’Arhiba par des forces armées sous ses
ordres ?
Tous les plus de 27 ans se souviennent, les vieux en souffrent encore : Arhiba et tous les vrais Djiboutiens doivent se mobiliser pour faire échec à
cet affront.
Car aujourd’hui, le traître Ali Guelleh continue d’opérer encore cette fois pour la disparition des Afars en leur substituant une population somalienne venue de Burao à Mogadiscio en
passant par Hargheisa
Actuellement, les commanditaires du traître Ali Guelleh, sont Djama Haïd, le patron d’Inschcape et de la Société ICC de la fille de Paulette,qui a dévalisé les biens de Boreh, avec des financements extérieurs offerts par Somcable d’Hargheisa et surtout de la Banque de Dahabshil de Burao.
La grande absente est Daallo Airlines qui est actuellement financé par les Télécommunication de Djibouti mais qui est au bord de la faillite comme le Port de Djibouti.
La sécurité de ces mafieux d’Hargeisa et des ex-réfugiés de Diré-Dawa est assurée en grande partie par les Brigades de la mort aux services du Dictateur-criminel en particulier ceux des Forces de Police en provenance de Mogadiscio.
Après l’occupation de la gente féminine de l’UNFD voisine d’Arhiba, c’est l’expropriation par la force des habitants d’Arhiba qui est en cours : un immense plan de ratissage. Pour vendre les terrains au Koweit par l’intermédiaire de Fahmy El Hag beauf d’Ismaël Tani.
Kadra Haïd et son « malade-mental-candidat » n’a plus confiance. Ni dans les
irréductibles Afars de Yoboki à Doumeira, ni dans les courageux Issas d’Ali Sabieh à
Balbala, ni surtout dans les silencieux, mais très remontés Gadabourci.
Oui Kadra n’ a pas confiance en tous ces patriotes considérés comme des Allogènes. Faut-il rappeler
qu’Ali Aref, durant la fin de sa période coloniale disait que, « les allogènes
sont les plus dangereux ». C’est évident que ce sont les Patriotes allogènes qui « sont les plus dangereux », car
il souffre pour leur Patrie, pour leur Peuple, pour leur culture et pour leurs terres.
Aujourd’hui, les nouveaux parvenus, fraîchement naturalisés grâce à l’octroi massif de pièces d’identité, en particulier les Hawiyés de « Scheick dit Sarif » de
Mogadiscio, les Issacks de Burao à Hagheisa de « Silanyo et de son épouse « la
Leila du Sud, cousine tribale de la Leila de Djibouti ».
Tous ces nouveaux électeurs Djiboutiens sont en train de dénigrer les dits « allogènes » en réalité
anciens et authentiques combattants pour la libération de Djibouti depuis 1956
et principaux victimes du colonialisme de Paris.
Aujourd’hui, les déchirures entre les frères Afar et Issas sont cicatrisées.
Dieu merci !
Le combat populaire contre la dictature du néocolonialisme est à son apogée.
Le dictateur sanguinaire et mafieux vit ses derniers jours au pouvoir. Tous les crimes de guerre qu’il a commis
dans la Corne d’Afrique, les crimes de génocide contre les populations Afars de Yobokià Doumeira, les massacres d’Arhiba, les assassinats de Djiboutiens et d’étrangers, ainsi que tous ses crimes financiers vont le traîner, inéluctablement, devant la justice.
La fin de l’mpunité est une réalité et elle le concerne au premier chef.
Madame Amina
une ancienne combattante d’As Eyla