26/02/2000 – Pourquoi la justice djiboutienne ne poursuit-elle pas les « coupables » français de l’assassinat du juge BORREL ?

Puisque le journaliste de LA NATION affirme qu’il connaît les véritables assassins du juge Bernard BORREL, je m’étonne que, dans un souci de vérité, il ne les communique pas. Il a certainement livré les noms au Président de la République M. Guelleh.

Pourquoi ce dernier ne demande-t-il pas à la justice djiboutienne « toujours saisie de l’affaire » de poursuivre ces coupables et de décerner contre eux des mandats d’arrêt internationaux ?

Pour quelles raisons, la justice française représentée à Djibouti par le juge FIEVET (successeur de feu Bernard BORREL) ne demande-t-elle pas à interroger ce témoin qui affirme connaître les noms des coupables dans le seul journal autorisé à Djibouti ?

Quels sont les liens « coupables » ou non qui unissent la France à Djibouti.

AMA

Note de l’ARDHD :

nous avions écrit dans un précédent article que la France serait obligée d’étouffer l’affaire BORREL pour (mauvaise) raison d’État Le mécanisme est en route (nouvelle annulation ce dimanche soir d’une émission télévisée :  » un entretien avec le juge LE LOIRE, pourtant programmé sur M6″). Il doit y avoir un « cadavre » dans le placard entre la France et Djibouti….