15/04/02 Les rats quitteraient le navire. Un signe d’espoir pour les Djiboutiens ?
La majeure partie de la famille Guelleh aurait déménagé
et se serait exilée à Ottawa (Canada).
S’il est des aptitudes que l’on reconnaît au Djiboutien
en situation de candidat à l’exil c’est celles d’être
curieux, physionomiste et de chercher à comprendre. C’est
ainsi que le débarquement d’un nouvel arrivant djiboutien
dans un quelconque pays d’accueil, a fortiori non accompagné
de femme et enfants est immédiatement signalé au
sein de la communauté.
Par évidence, on constate donc qu’en dépit des mesures
de discrétion prises … l’arrivée de membres de
la famille d’ismaêl Omar à Ottawa ne pouvait pas
passer inaperçu.
Quatre frères d’Ismaël Omar Guelleh avec leurs épouses
et leurs enfants auraient quitté Djibouti ces dernières
semaines pour fixer leur résidence à Ottawa (Canada).
Ils viendraient renforcer la longue liste des Djiboutiens exilés
dans ce pays.
Constatant que le bateau commence à prendre eau de toute
part puisque son Excellence le "Frangin" a concentré
l’unanimité contre lui, les "frangins" auraient
préféré assurer l’avenir proche et s’éloigner
discrètement ?.
A moins que
comme certaines et certains, vraies-fausses cartes d’identités
à la main, ils nous fassent le coup des "Exilés
opposants" qui demandent aux autorités canadiennes
un statut de réfugié politique ? Mais la Communauté
des vrais exilés djiboutiens au Canada veille et nous l’appuierons
de toutes nos forces, lorsqu’il faudra informer les services canadiens
de l’identité de ces faux-réfugiés … !!
Décidément
rien ne va plus dans la République de Guelleh !
Trahi par
ses amis, surveillé par une opposition politique qui a
dressé le bilan de toutes ses tromperies et de toutes ses
falsifications, voilà que sa famille n’a plus confiance
et qu’elle abandonne Paulette et le Chamelier à leur triste
sort.
Selon la rumeur,
même le clan Mamassan ne suivrait plus aveuglément
celui qui voudrait devenir le Guide de Djibouti. Le clan à
raison de se démarquer, car Guelleh n’a pas la capacité
de résister au vent qui tourne … Et les Mamassan pourraient
faire les frais de leur encombrant parent …. c’est à
dire de payer ses fautes dans l’avenir.
(Affaire à suivre)