16/05/02 Nul ne sera plus à l’abri de la Cour pénale internationale.
Cet après
midi, en plein centre de Bruxelles, les autorités belges
ont procédé à l’arrestation de l’officier
supérieur rwandais, d’origine Hutu, Léonidas
Rustira qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt
international lancé dans le cadre de la recherche des
tortionnaires qui ont sévi lors du conflit rwandais.
L’officier
a été immédiatement incarcéré
à la prison de Forest avant son transfert, dans les
jours à venir, en Tanzanie où il sera présenté
devant le Tribunal Pénal International d’Aroucha.
Sa famille
aurait été immédiatement placée
en résidence surveillée et devrait être
vraisemblablement renvoyée vers son pays d’origine.
Ceci confirme
en tous points l’application des mesures renforcées
récemment par les autorités belges en matière
d’enquêtes sur la localisation de faux réfugiés
politiques et de leurs familles qui utilisent cette frêle
couverture mensongère qu’est une fausse identité.
Les autorités
belges montrent le chemin et renforcent les mesures en matière
de localisation des « Faux réfugiés politiques
» et de leurs familles.
D’après
des sources d’information fiables, d’autres enquêtes
auraient été diligentées en collaboration
avec les services de l’immigration de l’UE et devraient
permettre d’assainir rapidement la situation notamment
pour ce qui concerne les « faux réfugiés
politiques djiboutiens » qui sous le couvert de «
vrais fausses cartes d’identités somaliennes »
et autres documents délivrés en toute «
Légalité illégale » par les autorités
djiboutiennes notamment en la personne d’Hassan Saïd,
dit "Hassan madobé", bénéficient
d’un statut et des avantages financiers inhérents
auquels ils ne pourraientt prétendre
Certains
d’entre eux seraient localisés, maintenus sous
surveillance car susceptibles d’être utilisés
comme relais pour les réseaux d’Al Quaïda
en Belgique mais aussi en France, notamment en Angleterre
et servir comme outils du régime d’Ismaël
Omar dans les actes d’élimination des véritables
opposants politiques.
On murmure
que quatre listes identifiant ces « relais » auraient
été …malencontreusement… égarées
par Guelleh. Mais, d’après notre informateur,
elles ne seraient pas perdues pour tout le monde……
Décidément,
rien ne va plus dans les bureaux du Palais de l’Escale, si
les listes « ultra confidentielles » de «
faux réfugiés politiques » se perdent…..on
se demande où va la dictature ?.
Que les
véritables réfugiés politiques et leurs
familles se rassurent, le Royaume de Belgique sait faire le
tri entre le bon grain et l’ivraie.
Tel est
pris qui croyait prendre. La Belgique ce n’est pas Djibouti
!.
Rappelons
nous l’épopée, récente et rocambolesque,
du Maire de Djibouti Daher Ismaïl Kahin dit "Chideh"
(qui est l’oncle de Mohamed Moussa Ali Kahin dit "Tourtour",
déjà fameux pour sa duplicité…. avec
Abdillahi Houssein dit "Nouveau").
Au cours
de leur garde à vue, ces « super barbouzes »
version Ismaël Omar …auraient rapidement vidé
leur sac et confirmé, entre autres, que des officiers
de l’AND et de la FNP étaient présents à
Bruxelles.
L’immigration
et les « services spécialisés belges »
se sont penchées sur le cas des familles de ces officiers
qui avaient demandé l’asile politique en présentant
des demandes de statut de réfugiés fondées
sur de fausses déclarations.
A titre
d’exemple, les enfants du Maire de Djibouti ont déclaré
que leur père avait été emprisonné
par IOG et que ce dernier était un criminel …. (On
croit rêver ! Chiche qu’il le fait emprisonner à
Gabode pour sanctionner son échec ).
Parmi
les personnes citées par Abdillahi dit "Nouveau",
il pourrait y avoir :
– Le Commandant Mohamed Robleh de la FNP
– Le Commandant Abdo Abdallah de la FNP
– Le Lt-Colonel Ghaleb de la FNP.
On connaît
bien nos amis belges, ils sont par nature très accueillants
mais il ne faudrait pas les prendre pour ce qu’ils ne sont
pas. On ne pourrait que leur suggérer de lancer une
Commission rogatoire internationale à l’encontre d’Hassan
Saïd, homme des basses oeuvres du pouvoir en place et
qui est "la mémoire" dans bien des dossiers
des "faux immigrés politiques".
En attendant,
nous lui déconseillons l’air malsain de Bruxelles et
de la Belgique en général, se munirait-il d’une
dizaine de passeports diplomatiques …il risquerait quand
même d’être dans l’obligation de s’expliquer sur
certaines de ses activités "parallèles".
Quant
à Moussa Ali Kahin, il continue à voyager pour
effectuer des missions ordonnées par IOG mais pour
combien de temps ?.
Sa présence
est signalée en France et en Angleterre, curieusement
il semblerait éviter la Belgique depuis cet incident.
L’étau
judiciaire se resserre, logique « Union Européenne
oblige ! ».
La Cour
pénale Internationale pourrait-elle se pencher prochainement
sur les dossiers des tortureurs djiboutiens que nous dénonçons
depuis des années. Leurs crimes sont au moins aussi
graves que ceux que l’on reproche à certains officiers
au Rwanda.