02/10/04 (B266) Suggestion d’un lecteur : … Et si on ignorait Guelleh et sa bande ethiopienne au pouvoir !

Chers djiboutiens, Guelleh
et son équipe écoutent les cris (souffrances) des djiboutiens
mais ils ne les entendent pas.

Je vous conseille tous
de poursuivre vos études aussi loin que vous le pouvez et ensuite,
si cela est possible, de rentrer au pays et d’ouvrir vos propres « business »
/ commerces.

Parce qu’en se soumettant
(en travaillant pour eux) pour les mafieux au pouvoir, vous les aider à
s’attribuer une valeur qu’ils ne méritent pas du tout.

Cessons de parler et passons
aux actes maintenant : éducation et travail libre et indépendant.
Beaucoup de Canadiens d’origine djiboutienne, après avoir étudié
au Canada, sont rentrés à Djibouti : ils y ont lancé
avec succès, dans de nombreux cas, leur commerce ou leur business.

Le nombre de ceux-là
est en constante augmentation. Guelleh est très préoccupé
par cette nouvelle stratégie des jeunes Djiboutiens, qui ont fait des
études brillantes à l’étranger. D’autant plus qu’ils
réussissent sans ne jamais rien lui demander et il n’a pas beaucoup
de prises sur eux, puisqu’ils ne luis ont redevables de rien.

Guelleh, qui n’est pas
totalement idiot, a bien compris qu’il va être rattrapé prochainement
par son « passé-noir ».

Alors Djiboutiens .. éducation
et travail indépendant.
jusqu’à que Guelleh quitte le POUVOIR.

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Note de l’ARDHD
Attention, quand même ! Nous publions ce conseil adressé par
un lecteur, mais il faut bien évaluer auparavant, le niveau possible
de liberté et d’autonomie, à Djibouti pour développer
un business, sans prendre le risque d’être dans l’obligation de s’associer
avec un proche de la famille ou du régime, dès que les affaires
commencent à être bénéficiaires …
Ce risque existe et il n’est pas négligeable.